1. Perte de ma virginité


    Datte: 18/12/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, humilié(e), vengeance, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, init, confession, prememois, inithf, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... chambre d’étudiant.
    
    À mesure que je détaillai les charmes de ma proie, je sentis dans mon pantalon de toile se délover mon jeune sexe qui lui n’avait que faire de mon ressentiment et de mes préventions à l’égard de Marie-Laure. Doué d’une vie et d’une conscience propres, il se contenta de me rappeler que derrière celle que je considérais comme une vieille petite bourgeoise prétentieuse et maniérée, il y avait un corps de femme, c’est-à-dire une bouche, des seins, un sexe et des fesses. Les sexes masculins ont très probablement un nombre de neurones moindre que leur propriétaire et, dans cet instant, il se contentait de réduire Marie-Laure à de la chair appétissante, des organes tièdes et accueillants, des parfums enivrants. Caché par le rideau que le vent faisait faseiller, je continuai mes investigations en laissant libre cours aux fantasmes ordinaires d’un jeune homme en attente de sevrage. Marie-Laure se levant, je me glissai légèrement derrière la persienne pour éviter d’être surpris.
    
    — Il fait une chaleur épouvantable, ma chérie, je vais prendre une douche et me rafraîchir puis je redescends pour le thé.
    
    Du haut de mon perchoir, je suivais le large chapeau de paille se déplaçant avec nonchalance sur le gravier. Heureux pouvoir de l’imagination, de ses espérances et de ses mystères ! Mais, comme la langue d’Ésope, la folle du logis est capable du meilleur comme du pire. Le mot de douche fit jaillir en moi des images de corps dénudés, de vapeur étouffante, de ...
    ... sueur. Les sévères leçons du maître de morale que j’avais eu en pension et qui faisaient rire sous cape tous les élèves, me revinrent à l’esprit :
    
    — L’imagination enflammée, disait-il, affaiblit la pudeur, met le désordre dans le cœur, et pour peu qu’une jeune personne ait de la disposition pour la tendresse, hâte et précipite son penchant
    
    Avec la fulgurance mystérieuse que seul l’imaginaire d’un jeune étudiant en mal de sensualité peut générer, j’associai à la notion de douche, la chambre d’amis dans laquelle l’imposte vitrée au-dessus de la porte donnait sur la salle de bain mitoyenne.
    
    Je quittai mon poste d’observation et, sur la pointe des pieds, me glissai dans la chambre vide. Marie-Laure apparut au bout du couloir à l’instant où je refermai délicatement la porte.
    
    Elle chantonnait en marchant lentement vers sa chambre. L’oreille tendue, le souffle court, j’analysai chaque bruit pour tenter de reconstituer la scène, attendant le moment où elle se dirigerait vers la salle de bain. Après quelques minutes qui me parurent une éternité, alors que j’allais abandonner tout espoir de pouvoir la surprendre au bain, je l’entendis sortir de sa chambre, se diriger vers le cabinet de toilette et en pousser le verrou. La pièce donnant sur la chambre où j’étais tapi, je vérifiai que le verrou intérieur était bien poussé de mon côté. Marie-Laure fredonnait l’improbable« Carnaval sans chemise » de Rika Zaraï, sans se douter que, penché sur le trou de la serrure, je pestai que ce ...
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