1. Perte de ma virginité


    Datte: 18/12/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, humilié(e), vengeance, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, init, confession, prememois, inithf, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... à ma jeune, mais fière virilité.
    
    À mesure que les jours passaient, maman et Marie-Laure semblaient retrouver leur complicité passée et je fus même surpris de voir ma mère, sur l’insistance de son amie, accepter de se mettre en maillot de bain pour profiter du soleil. De la fenêtre de ma chambre j’avais assisté à cette scène assez rare de voir ma mère et l’arrogante Marie-Laure se prélasser dans les chaises longues en s’enduisant mutuellement d’ambre solaire.
    
    Malgré mon dépit et la rancœur que je cultivais envers celle que je considérais comme une vieille mijaurée, je m’attardai à l’abri des persiennes entrouvertes.
    
    Marie-Laure, dont j’estimais l’âge canonique à environ cinquante ans, était allongée sur un transat, le visage protégé par un large chapeau de paille sortie d’une malle du grenier. Maman, peu habituée aux séances de bronzage avait ressorti un maillot de bain une pièce en lycra bleu que je ne l’avais pas vu porter depuis des années. Celui de son amie ne manqua pas d’attirer mon attention. Non pas que je puisse être choqué par un maillot deux-pièces – mes cousines et mes sœurs en portaient –, mais qu’une femme de son âge, aussi pudibonde, pût s’exhiber ainsi me surprenait.
    
    Aujourd’hui, tout cela pourrait sembler un peu vieux jeu, mais, dans le contexte familial de l’époque, il n’était pas courant de voir sur la pelouse de la maison une femme de cet âge dans cette tenue. Je n’avais pas vu Marie-Laure depuis des années et le souvenir que j’avais d’elle ...
    ... était celui d’une femme assez mondaine, plutôt austère, vêtue comme une dame patronnesse de province. Je crois que je ne l’avais jamais vue autrement qu’en tailleur ou à la rigueur, l’été, quand son mari était vivant, en robe plus légère, mais toujours très classique.
    
    Marie-Laure était une femme non pas forte, mais bien en chair, encore qu’aujourd’hui je dirais « épanouie ». L’ensemble des rondeurs était bien proportionné. Les épaules rondes et potelées, la poitrine que je devinai généreuse sous le tissu, le ventre un peu rond, mais apparemment toujours ferme, les cuisses charnues sans excès. Mon regard détailla avec de plus en plus d’attention, voire de plaisir, le corps livré aux rayons du soleil. Après les jambes, je remontai vers le bas du maillot de bain. Bien éloignée des strings d’aujourd’hui, la culotte blanche immaculée était relativement échancrée et se terminait par un anneau doré en remontant assez haut sur les hanches. Le tissu était tendu sur la peau, sans un faux pli et je tentai depuis mon poste de guet de deviner l’ombre ou le pli qui allait me révéler un détail de ce qu’il était sensé masquer. De ma position, le soleil plombant sur le tissu empêchait toute observation précise. Les yeux écarquillés, je tentai vainement d’apercevoir entre les cuisses paresseusement écartées, le pli indiquant la fente qui excitait tant mon imagination et mes fantasmes, mais que, jusqu’à ce jour, je n’avais scrutée que sur les pages glacées des « Lui » que j’avais laissés dans ma ...
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