1. Perte de ma virginité


    Datte: 18/12/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, humilié(e), vengeance, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, init, confession, prememois, inithf, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... âge.
    — Comment, perdre ton… ton… ton pucelage ? Ce que tu me demandes, là, maintenant c’est de… enfin, tu vois ce que je veux dire… Mais… il n’en est pas question. C’est un chantage dégoûtant.
    — Je crois que nous nous sommes mal compris, ma chère Marie-Laure, vous n’êtes pas en situation de discuter. Il ne s’agit pas d’une prière. Vous m’avez demandé ce que j’attendais de vous… Eh bien voilà ! Je vous demande d’être mon initiatrice en quelque sorte et de participer à faire de moi un homme, c’est-à-dire plus un petit puceau.
    — Mais…
    — Non, s’il vous plaît, taisez-vous. Faites juste ce que je vous demande. Et pour commencer, vous allez déboutonner votre chemisier. Je vais vous faire un aveu. Je vous ai épiée par l’imposte qui donne sur la salle de bain lorsque vous preniez votre douche, mais tout cela était trop furtif.
    — Petit salaud !
    — Chut ! Déboutonnez votre chemisier et tout sera oublié. Vous savez qu’un moment de honte est vite passé et ce ne sera pas cher payé pour prix de mon silence.
    
    Marie-Laure a un moment d’hésitation, mais semble comprendre, face à mon apparente détermination, que toute résistance serait vaine. Après avoir murmuré un nouveau « petit salaud ! » elle porte ses mains à son col et défait un à un les boutons du chemisier.
    
    — Continuez, ne vous arrêtez pas, enlevez-le entièrement.
    — Mais tu es fou ! On pourrait nous surprendre. Arrêtons là, je te promets que nous continuerons, mais un autre jour, ailleurs.
    — Ne m’imaginez pas plus naïf que ...
    ... je ne le suis. Pour être un jeune puceau, comme vous le dites avec condescendance, je ne suis pas particulièrement crédule. Si c’est la crainte d’être surprise qui vous gêne, je vais fermer la porte de la serre à clef.
    
    La porte close, mû par je ne sais quelle audace je pris Marie-Laure par le bras et l’entraînai derrière un rideau de plante. À ma grande surprise, elle se laissait mener sans opposition.
    
    — Continuez, maintenant que nous sommes à l’abri de toute surprise.
    — Tu me confirmes que c’est cela le prix à payer pour ton silence ?
    — Je n’ai qu’une parole et vous n’avez guère le choix. Continuez.
    
    Je crus remarquer l’esquisse d’un sourire sur ses lèvres, mais il fut si fugace que je n’en étais pas sûr. Dans la moiteur de la serre, la chaleur humide, l’odeur des végétaux et la fragrance des fleurs tropicales ajoutaient une touche exotique à la scène irréelle qui se déroulait sous mes yeux. Marie-Laure avait tiré les pans de son chemisier de sa jupe et finissait de le déboutonner.
    
    — Ôtez-le maintenant et retirez lentement votre soutien-gorge !
    
    Malgré un imperceptible temps d’arrêt, elle avait repris son déshabillage. Elle me regardait fixement, refusant de s’avouer vaincue, et tentait de reprendre le contrôle de la situation. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, elle fit glisser son chemisier qui tomba à ses pieds et glissa ses mains dans son dos pour dégrafer le soutien-gorge de dentelle blanche immaculée. Tout en le maintenant, elle ramena ses mains ...
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