1. Perte de ma virginité


    Datte: 18/12/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, humilié(e), vengeance, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, init, confession, prememois, inithf, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... sur les bonnets. Elle releva les yeux. Aucune trace de honte, mais une détermination profonde.
    
    — C’est cela que tu veux ?
    
    Je sentis que la situation se renversait et que de chasseur je devenais gibier.
    
    — Je t’ai posé une question Patrick ! C’est cela que tu veux ?
    — Euh… disons… Oui.
    — Alors ce que tu veux, tu ne vas pas me le prendre avec tes méthodes de petit voyou vicieux… C’est moi qui vais te l’offrir. Tu imaginais que j’allais tomber dans ton chantage minable. Soit, je n’ai pas le choix, mais tu ne m’imposeras rien sans ma volonté. Qu’est-ce que tu croyais ?
    
    Elle relâcha lentement la pression de ses mains sur les bonnets qui glissèrent et rejoignirent le chemisier, dévoilant à quelques centimètres de mes yeux la poitrine que j’avais entraperçue ballottant sous les coups de reins paternels à travers l’imposte embuée puis le trou d’une serrure. Ils semblaient moins fermes que ceux contemplés sur les pages des magazines « porno » ou ceux que j’avais maladroitement pressés lors d’un slow. Lourds, épanouis, ils tombaient légèrement sans s’affaisser. Les aréoles larges et brunes étaient prolongées par des mamelons ronds et grumeleux.
    
    — Je suppose que tu veux les toucher, les embrasser, alors vas-y. Tu as l’air moins sûr de toi.
    
    Ma superbe de petit mâle arrogant avait fondu et je sentis mon propre piège se refermer sur moi, mais les seins offerts, à quelques centimètres de mes mains me fascinaient. Je m’approchai et enfouis mon visage dans le sillon ...
    ... moelleux, m’enivrant du parfum de chair tiède. Les mains en coupe rapprochaient les deux seins, les comprimaient et les malaxaient avec ivresse. J’eus un léger mouvement de recul lorsque ses doigts se posèrent sur ma cuisse et remontèrent jusqu’à effleurer mon sexe tendu sous le tissu. Ce n’était pas la première fois qu’une main se posait sur ma braguette, une expérience de pensionnat m’avait fait goûter à ce genre de plaisir, mais c’était la première fois de ma vie qu’une femme osait cette caresse.
    
    — C’est bien cela que tu veux, hein ?
    
    Le vernis craquait, l’accent de fausset de cette pimbêche parisienne s’était évanoui, révélant sa nature cachée. La voix s’était faite plus grave, plus gutturale et presque vulgaire. Ses doigts agiles avaient saisi la fermeture éclair de mon pantalon et l’ouvraient lentement dans ce crissement si reconnaissable. La main s’insinua dans l’échancrure et saisit avec une habilité surprenante l’élastique de mon caleçon qu’elle franchit sans hésitation avant de se refermer sur le gland décalotté par la tension douloureuse. Ce fut comme un signal. Nos doigts s’acharnèrent sur nos ceintures respectives. Je fus un peu plus rapide, et la jupe, tombée sur les chevilles, fut écartée d’un petit mouvement des orteils. La situation, pour un observateur extérieur n’aurait probablement pas manqué de ridicule. Dans la moiteur étouffante d’une serre, une femme d’âge mûr en culotte blanche et serre-tête de velours bleu glissait une main dans la braguette d’un jeune ...
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