1. Hallucination - Billevesée et Gaudriole !


    Datte: 14/02/2018, Catégories: ffh, fplusag, fsodo, init, historique, Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe

    ... ventre et des seins mais l’ensemble conservait tout son pouvoir de séduction. D’autres marques, comme ses pattes d’oies autour des yeux et de la bouche lui conféraient une humanité saisissante maintenant qu’elles ne manifestaient plus seulement sa sévérité. Ces ridules qui, pour tout autre qu’un peintre sensible aux nuances, eussent altéré ses traits, les empreignaient de sens et de caractère. Moi qui n’ai jamais aimé les objets trop neufs et leur préfère ceux que la vénérable patine du vécu enveloppe, je ne pus que me réjouir devant si humaine et nostalgique vénusté, et quoique restant captivé par les attraits de sa fille, je ne manquais de m’émouvoir devant les sortilèges, un rien fanés mais d’autant plus attendrissants de cette grand-mère.
    
    Dès qu’elle eut tâté et ainsi vérifié la vigueur qu’elle m’inspirait, je vis cette petite moue qui tremblait au coin de sa bouche se dissiper. Elle n’était donc pas assurée de son fait et elle m’avoua plus tard combien elle avait craint l’humiliation d’un refus. Dès lors elle s’emporta et défit mon haut-de-chausse puis allant se coucher sur mon lit, elle m’ordonna de la cajoler avec mon sexe, m’intima de le promener partout sur son ventre, sa gorge, ses seins, dans ses cheveux et sur son visage. Je pus ainsi donner libre cours aux convoitises de mes yeux, à ceux du peintre donc, ce qu’Elfriede dans ses empressements ne m’avait guère permis.
    
    Avec un bien singulier pinceau, je parcourus son corps entier en en appréciant chaque ...
    ... parcelle, que successivement je barbouillais de cette teinte invisible que l’on nomme désir et qui la convulsait en frissons ensorcelés. En retour elle saisit mon pénis qu’un grand moment elle choya dans ses mains entre lesquelles elle avait en outre saisi une lourde tresse de sa chevelure. Lentement ensuite elle porta le rose pâle et nacré de ses lèvres avides que surmontait un fin duvet blond vers la turgescence cramoisie. Quel tableau ! Quelles couleurs ! Quelle palette invoquer pour dépeindre ces harmonies ? La luronne jouait de mon sexe, épuisait la gamme complète des effets avec un art consommé et m’extorquait des trilles éraillées tandis que mes mains hoquetaient en bafouillantes caresses sur des chairs qu’elle m’exposait complaisamment, non pour m’éblouir de leur perfection mais afin que je puisse m’en régaler et en saisir toute la prégnante amabilité.
    
    Elle me coucha sur le lit puis venant s’asseoir à califourchon sur mon visage m’enjoignit de la remercier de ses soins en prodiguant leur équivalent à sa grotte sacrée. À peine y portai-je mes égards que bien qu’occupée à déboutonner fiévreusement mon pourpoint, elle ouvrit aussi ses bondes à un flot abondant et ardent. Elle se délivrait d’une séculaire abstinence qu’instruit des leçons de sa fille, je m’appliquais à lamper avec zèle. En même temps elle planta ses serres acérées dans mon torse qu’elle lacéra sans ménagement. Elle rompit cette ordonnance et me retournant vint masser mon dos de la pointe de ses seins, du ...