L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9) - Histoires de Sexe

L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9)

... eus marre : les deux femmes m’avaient particulièrement excité et je souffrais atrocement, tant psychologiquement, que physiquement à cause des érections suppliciées par la cage. Alors profitant d’une inattention de mes deux bourreaux, je fuis en pleine nuit et me réfugiai chez un copain.

Devant mon état d’amaigrissement, les fers aux poignets et au cou, la cage et le collier de bagnard, il voulut appeler la police. Je lui expliquai que j’avais échappé à des maniaques sexuels... pas faux en définitive, et que je devais fuir la région, car s’"ils" me retrouvaient..."ils" me tueraient ! Évidemment, je ne pouvais lui dire qu’il s’agissait de ma propre mère et de sa copine lesbienne !

Après m’être débarrassé des objets de mon esclavage, je me rendis à Tarbes, rue de Cronstadt où je fus accueilli par un sergent recruteur... le soir même, j’appartenais à ce prestigieux régiment qu’est le I° "Hussard Parachutiste", le seul régiment para, à être équipé des superbes AMX 10 RC (Roues-canon).

Je devins un pro de l’observation discrète, avec un tas de gadgets de vision diurne ou nocturne, car j’étais sniper sur FRF2. J’aurais préféré une TIKKA, l’arme de mes collègues du RAID ou du GIGN, mais elle n’était pas en dotation dans l’armée de terre.

Ayant intégré une section spécialisée dans le repérage et la délivrance d’otages en territoire hostile, j’avais appris plein de petits trucs de cambrioleurs, style ouvrir une porte sans effraction, pénétrer dans une maison sans laisser ...

... de traces... talents qui allaient bien m’être utiles pour la suite !

Après ma formation de plusieurs mois et un séjour assez musclé de six mois, au Mali, pour “Barkhane”, j’eus droit à trois semaines de perm... j’en profitai pour peaufiner ma vengeance à l’encontre des deux salopes qui m’avaient humilié ! Cela faisait déjà un an que j’avais quitté le “cocon familial” !

En planque depuis 5 jours, j’avais bien répertorié l’emploi du temps de ma mère.

Alors estimant que celle-ci allait passer 2 heures avec sa copine, et que mon père ne reviendrait pas, vu les horaires du lycée, je passai à l’action.

Bidouiller la serrure pour ouvrir la porte ne me prit que quelques secondes. Évidemment, toute trace de la présence de cette salope de psy avait été évacuée... ma mère avait repris sa petite vie bien honnête, de femme de proviseur... en apparence. Et la fameuse psy avait dû regagner son domicile, pour laisser mon père rentrer au bercail ! Mais les deux femmes étaient toujours amantes !

Dans la chambre de ma mère, ce qui attira tout de suite mon attention fut un livre de psychologie sur les jeunes et leurs déviations sexuelles, dont l’inceste. Le feuilletant, je m’aperçus que j’avais été le sujet bien involontaire de certaines expériences de la psy, Sarah Sikorsky, qui était devenue célèbre avec son best-seller ! La salope ! Non seulement elle avait fait de ma vie un enfer, mais en plus elle avait fait du fric sur mon dos ! Cela appelait vengeance et je sus tout de suite ...