Ascenseur vers l'azur
Datte: 16/12/2018,
Catégories:
extracon,
ascenseur,
miroir,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... caleçon, mon sexe se déployer, prêt à honorer notre rencontre. Dans deux minutes, nous allons entrer chez elle et nous étreindre avec une intensité jamais atteinte. Nous n’en sommes qu’au huitième étage et il me semble déjà que la Terre est à des milliers de kilomètres sous nos pieds.
Une main fine se glisse en dessous du tissu de ma chemise, vers le bas. Au point où j’en suis, elle peut bien les faire sauter un à un, ces sacrés boutons qui ne tiennent pas ! Peut-être veut-elle palper le dessin de mes abdominaux ? La peau glabre de mon ventre est très sensible. C’est la brûlure d’un feu de délices qui m’embrase comme un arbre sec en pleine canicule. Je frémis. Onzième étage.
Je dépose un baiser léger sur son oreille droite. Elle rit car cela la chatouille. Mais elle ne fait rien pour me dissuader de continuer, alors je lèche carrément le lobe, puis le serre doucement entre mes incisives. Je murmure « coquine ». Hochant la tête, elle assume ce qualificatif. Treizième étage.
Elle m’imite ; je sens sa langue lutiner mon organe auditif. Elle chuchote à son tour « Obsédé… », puis elle ajoute « Satyre lubrique ! » Ce n’est pas faux, et je prends ces épithètes comme le compliment d’une libertine à un Sardanapale ; nous sommes donc faits pour nous entendre. Quinzième étage.
Sa longue robe noire au col échancré est une invitation permanente aux facéties câlines : il est temps que je m’y intéresse. Penché en avant, je bisoute la zone exposée située juste entre les seins, ...
... jouant avec les limites du vêtement que je ne peux pas encore retirer. Elle se laisse faire, et même m’encourage en étirant l’habit vers le bas afin de découvrir un peu plus de ses globes mammaires – depuis tout petit, j’ai toujours été gourmand de ces attributs des dames. Il semble qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, ou alors, un balconnet sans bretelles très discret. Je ne résiste pas à ta tentation de vérifier en glissant une main le long du haut de son dos. Effectivement, je sens le relief d’une bretelle. Un regard noir punit aussitôt mon indiscrétion. J’avais oublié (fait semblant d’oublier) que la lingerie est son apanage féminin. Docile, je cesse aussitôt de la toucher. Elle éclate de ce rire tellement féminin qui n’appartient qu’à elle, de nouveau. Dix-huitième étage. Le ciel se rapproche. J’ai chaud et commence à transpirer. L’air doit se raréfier.
Audacieuse, sa petite main agile franchit le détroit de ma ceinture et pénètre par l’avant l’antre de mon pantalon. Elle se faufile avec la rapidité d’un serpent qui attaque jusque sous le boxer et se saisit de ma verge. Raphaëlle sait qu’elle joue avec un bâton de dynamite car elle pourrait très vite me faire éjaculer, ce qui gâcherait quelque peu la suite des événements. Pour ne pas me faire exploser, elle se contente ensuite d’effleurer rapidement mes bourses, de l’extrémité de ses doigts, avant de se retirer, satisfaite de l’incendie de mes sens qu’elle a provoqué. Mon entrejambe présente maintenant une jolie ...