1. Evolutions (16)


    Datte: 15/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory

    ... cochonnes, lorsqu’elles téléphonent à leur amant.
    
    — Je... maintenant oui. Je... commence à me tripoter.
    
    — Hum, moi aussi. Ma queue est en train de gonfler lentement, tandis que je la touche, en écoutant ta voix sensuelle.
    
    — Et moi je passe ma main sur ma figue, et me rappelant tes fesses.
    
    — Mes fesses seulement ?
    
    — Pour l’instant oui. Je me mets à genoux derrière toi, je les écarte doucement, et je commence à lécher entre elles comme tu me l’as fait hier.
    
    — Hum, continue. Je viens de décalotter mon gland, et je me masturbe lentement en pensant au bien que tu es en train de me faire.
    
    — Et moi je commence à mouiller, à l’idée que le bout de ma langue est en train de se frotter contre ton petit trou du cul. Il se déride sous l’effet de mes caresses et de ma salive, ce qui me permet de pouvoir m’enfoncer peu à peu.
    
    — Hum oui, je la sens.
    
    — Tu viens tenir tes fesses avec tes mains, comme ça, je peux te branler lentement en même temps, et avec ma main qui est passée entre tes jambes, je te caresse les couilles.
    
    — Hum, oui. Ce que tu me fais est délicieux...
    
    Je ne lui mens pas, étant donné que l’écouter me raconter les cochonneries qu’elle aimerait me faire m’excite énormément. À partir de ce moment, je laisse mon petit bout de femme faire les frais de la conversation, en me contentant d’approuver en prononçant des « hum c’est bon » et des « Oui, continue », pour l’encourager à aller plus loin dans la description, de ce qui est probablement l’un de ...
    ... ses fantasmes. C’est de cette manière que nous arrivons, en nous masturbant au téléphone, à atteindre tous les deux le plaisir en solitaire, mais tout de même de manière partagée.
    
    Après avoir éjaculé dans un mouchoir en papier, et avoir entendu mon amante pousser un petit gémissement, je lui demande :
    
    — Tu as joui ?
    
    — Oui mon Amour. Ce n’était pas aussi bon que de sentir ta queue en moi, mais j’ai quand même beaucoup aimé.
    
    Ensuite, nous discutons pendant un petit moment, puis nous raccrochons après nous être souhaités de passer une bonne nuit.
    
    Le lendemain, après avoir pris mon repas de midi, je vais boire mon café avec Alice à la terrasse du bistrot d’en face. Lorsque j’arrive, elle est déjà là, habillée avec la même décontraction que les semaines précédentes, puisqu’elle porte un t-shirt large, un pantalon ample et des chaussures de sport. De plus, ses beaux cheveux d’ébène sont à nouveau attachés en chignon. Néanmoins, je la trouve plus belle que jamais, surtout lorsqu’elle me fait un magnifique sourire dès qu’elle m’aperçoit.
    
    Étant donné que j’ai peur de la gêner en l’embrassant en public, je me contente de déposer un chaste baiser sur ses lèvres avant de m’asseoir en face d’elle, ce qui n’a pas l’air de la contrarier. Ensuite, nous nous regardons en silence, nous rassasiant de la présence de l’autre uniquement avec notre vue.
    
    Tous les jours de la semaine se déroulent d’une manière à peu près identique, c’est-à-dire que le soir nous nous masturbons au ...
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