Evolutions (16) - Histoires de Sexe

Evolutions (16)

ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 16 : Masturbations, et cafés.

Lorsque je m’arrête devant la villa d’Alice, à mon grand soulagement, elle ne se met pas à pleurer, même si ses yeux sont brillants d’émotions contenues. Une de ses filles, celle qui a les cheveux foncés, vient jusqu’à ma voiture pour accueillir sa maman, mais l’autre qui a une crinière bien plus claire, reste sagement sur le pas de la porte d’entrée de leur maison, qui est ouverte.

La jeune personne qui se tient à présent à côté de mon Alpina, en s’étant penchée en avant pour être dans l’encadrement de la vitre que sa maman a entièrement baissée, est brune, avec des yeux marron tirant sur le vert, et ses cheveux longs lui arrivent jusqu’au milieu du dos. Elle doit être un peu plus grande qu’Alice, lorsqu’elles sont pieds nus, et je mise sur un mètre soixante-cinq. Bien évidement, la mère et la fille se ressemblent, même si le nez de cette dernière est légèrement plus large, sa bouche plus pulpeuse, et qu’elle n’a pas de fossette au menton. Par contre, elles ont toutes les deux le même teint de peau mat. Je ne peux pas m’empêcher de la trouver belle, même si elle est loin d’atteindre la magnificence de sa maman, et je souris lorsque mon petit bout de femme me la présente, d’une manière assez sobre :

— Laurent, voici ma fille ...

... Léo.

Je réponds en m’adressant directement à la gamine, et en lui tendant une main qu’elle serre sans hésiter quelques instants, avant de la lâcher :

— Bonjour, Léo, je suis enchanté de faire ta connaissance.

Elle ne réplique pas du tout, intimidée, et avec une voix légèrement éraillée qui a son charme :

— Salut, elle est fun ta caisse, elle monte à combien ?

— Deux cent soixante à l’heure.

— Pas mal pour une antiquité. Elle doit valoir son pesant de cacahuètes.

Alice, probablement gênée par la familiarité de sa fille à mon égard, la reprend :

— Léo, ce n’est pas une manière de s’adresser à un adulte. Tu n’es pas dans la cour de ton lycée.

— Mais Man, je te rappelle que même si je suis jeune, je suis moi aussi une adulte, enfin presque. Je vais bientôt passer mon bac, cet été ce sera mon permis de conduire, et à la rentrée j’irai à la fac.

J’éclate de rire en entendant cette répartie, pleine de justesse et de spontanéité, et je dis à mon amante :

— Laisse-la donc s’exprimer, il faut bien qu’on fasse connaissance.

— Oui, mais tout de même...

— Tout le monde ne peut pas être aussi réservé que toi, et je gage que ta deuxième fille a un caractère qui ressemble plus au tien, vu qu’elle n’a pas osé s’approcher.

La maman qui est en elle réagit aussitôt, puisqu’elle parle ensuite en forçant un peu la voix :

— Viens dire bonjour, mon Bébé !

La deuxième jumelle semble hésiter, puis elle se dirige vers nous en rougissant. Ses cheveux qui sont ...