1. Alain et Josée


    Datte: 15/12/2018, Catégories: fh, fplusag, hsoumis, fdomine, humilié(e), Oral pénétratio, fouetfesse, voisins, f+prof, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    ... :
    
    — Allez vite, tu me la mets et on casse la croûte, ou bien tu préfères après ?
    — Oui, on peut manger debout et laisser nos fesses refroidir un peu, non ?
    — Comme tu veux, mon bébé.
    — Pourquoi m’appelles-tu tout le temps « mon bébé ? lui dis-je en souriant.
    — Ce serait trop long à expliquer ce soir, samedi soir, promis, je te dis tout.
    
    Après la dînette, nous revenons au canapé pour une baise sommaire, comme elle en a décidé, puis je rentre chez moi. Je suis en paix avec moi-même.
    
    La semaine se déroule banalement, à ceci près que je trouve mes élèves agréables, polis, le sourire des filles n’est plus aguicheur mais simplement gentil, même mes collègues ne m’ont jamais semblé aussi sympathiques, les femmes surtout. Vient enfin le samedi soir. J’ai organisé la dînette chez moi, j’attends ma belle, que voici. Elle s’est faite encore plus belle, et mon cœur en fond un peu plus. Je sors des verres et des alcools et nous trinquons à nos retrouvailles.
    
    — Tu m’as dit : « Samedi soir, promis, je te dis tout ». Alors je t’écoute.
    — Ça va être un peu long car il faut que je confesse une faute, et les femmes ne font pas cela par plaisir, le plus souvent. Vois-tu, il y a sept ans, quand je t’ai corrigé, j’étais sous l’emprise d’une colère aveuglante. Tu n’étais qu’un enfant, après tout, certes un garnement, mais de mon côté, j’étais une fille coincée par l’éducation reçue de mes parents, de ma famille, de mon collège de bonnes sœurs, etc. Je t’ai flanqué une raclée, oui, ...
    ... mais j’ai oublié un point capital : après la punition vient le pardon. Après la fessée j’aurais dû te garder sur mes genoux mais à l’endroit, cette fois, et, comme la grande sœur que je suis pour toi, te consoler, te faire savoir que je ne t’en voulais plus, que j’étais sûre que tu ne renouvellerais plus jamais l’incorrection que tu avais eue à mon égard et, le plus important, faire en sorte que tu conserves intact ton potentiel d’homme en devenir. Au lieu de cela je t’ai flanqué dehors les fesses en feu mais, le plus regrettable, persuadé que si tu avais été puni si fort, par une jeune et jolie femme, c’est que ton image d’homme ne méritait pas autre chose que ce mépris et cette fureur. J’ai eu une chance folle que tu sois venu me donner l’occasion de tenter de réparer ma faute. Est-ce que j’ai réussi ?
    — Je crois que oui, même si ta méthode ne me paraît pas bien claire, mais le fait est là que je suis amoureux fou de toi.
    — Je crois bien que tu l’étais sans doute déjà, et que si j’avais été moins sotte, j’aurais pu m’y prendre autrement.
    — D’accord avec toi, tu m’avais charmé, mais la punition n’était pas volée, elle m’a été salutaire. Ma mère ne m’avait sans doute pas appris qu’il faut respecter les femmes.
    — Quant à ma méthode, elle est simple : je m’emploie à donner à la fessée une autre signification. En l’associant à des jeux amoureux, je souhaite que tu relativise ton mauvais souvenir.
    — Hou là, cela signifie que je vais encore m’en prendre souvent !
    — Et même ...
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