1. Alain et Josée


    Datte: 15/12/2018, Catégories: fh, fplusag, hsoumis, fdomine, humilié(e), Oral pénétratio, fouetfesse, voisins, f+prof, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    ... tient la tête à l’ouvrage.
    
    Puis je l’ai à nouveau pénétrée et embrassée et nous avons atteint ensemble le paradis. Nous nous sommes glissés sous les draps, elle a éteint la lampe et nous nous sommes endormis enlacés ; j’ai empaumé ses seins, elle a agité ses belles fesses sur ma queue mais le sommeil nous a quand même vaincus.
    
    Je me suis réveillé avant l’aube, nous n’avions presque pas bougés à ceci près que mon gourdin est bien dressé. Je le glisse vers sa chatte, un peu timidement, elle m’offre le passage en soupirant. J’embrasse sa nuque et son épaule et je m’agite lentement en elle, jusqu’à ce qu’elle se mette, elle aussi, a compléter le mouvement et un, deux, trois, soleil !
    
    Il fait grand jour. Je reprends conscience avec le réel, où suis-je ? Qu’est-ce que je fais là, quel jour est-on ? Une main douce se pose sur ma joue.
    
    — Qu’arrive-t-il à mon bébé ? De quoi a-t-il peur ?
    — Quelle heure est-il, chérie ?
    — C’est bien vrai ? Tu me chéris ? Moi aussi, tu sais. Il est huit heures moins dix. Je ne travaille pas le lundi. Et toi ?
    
    Je retombe d’un coup, soulagé. Moi non plus n’ai aucune obligation professionnelle ce matin.
    
    Je quitte Josée après l’avoir longuement embrassée, essayant de faire passer dans ce baiser les mots qui me semblent encore prématurés. De retour chez moi, je plane. Tout est différent, les gens et les choses ont changé de couleur, même cette petite pluie de septembre est sympathique. En traversant le square, la nature sent si bon. Je ...
    ... me sens un cœur énorme, j’en ai les larmes aux yeux. En arrivant chez moi je me précipite sur le téléphone :
    
    — Allo, Josée ?
    — Oui.
    — C’est moi, je t’aime.
    — Moi aussi, mon bébé.
    — On se revoit quand ?
    — Quand tu veux, mon bébé. Viens ce soir, si tu veux, mais il faudra être un peu plus sages, j’ai du boulot demain.
    — Il faudra me mettre dehors, je te promets d’être obéissant.
    — C’est bien, mon bébé, je t’embrasse.
    — Moi aussi, ma chérie, je t’embrasse partout.
    — Ça tombe bien, je suis nue et j’ai un peu froid, je t’aime.
    
    Le soir même je sonne à sa porte, avec de quoi faire la dînette pour nous deux. À peine ais-je déposé mes achats sur la table de la cuisine que Josée m’indique que nous allons renouveler la scène de la veille :
    
    — Nous n’avons pas beaucoup de temps, ce soir, déshabille-toi vite et viens sur mes genoux.
    
    À peine suis-je en position qu’elle commence à fesser, d’abord à petites tapes, puis plus soutenues, et enfin à bonnes claques, pas très douloureuses mais suffisantes à faire monter mon postérieur en température. Puis elle décide :
    
    — À moi, maintenant.
    
    Elle est en déshabillé, je n’ai que la peine de la trousser pour avoir le ravissant spectacle de ses fesses blanches. J’ai promis de faire chauffer ce postérieur. De fait, je ne sais comment j’ai pu vaincre mes blocages et obtenir une couleur tirant sur le rouge, accompagnée de jolis tressautements du popotin de ma belle et même de quelques exclamations de surprise. Elle se relève et ...
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