1. Alain et Josée


    Datte: 15/12/2018, Catégories: fh, fplusag, hsoumis, fdomine, humilié(e), Oral pénétratio, fouetfesse, voisins, f+prof, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    L’histoire que je vais vous conter s’est déroulée il y a quelques années. C’était à une époque que tous et toutes n’ont pas connue. Pour vous en donner une idée, je dirais par exemple que toutes les femmes ne portaient pas encore de collants en hiver, il y en avait encore une large majorité à s’attacher des bas, sans couture toutefois, à des jarretelles, et à trouver cela tout naturel. Les jeunes femmes s’habillaient soit en « maxi », avec des jupes ou des robes traînant sur les chaussures, soit en « mini » car à Londres une styliste venait de lancer la mini-jupe. Les mecs découvraient le pantalon « patte d’éléphant ».
    
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    Je m’appelle Alain, j’ai vingt-deux ans. Je suis prof de sports en Lycée, plutôt beau garçon, je crois, puisqu’une grande quantité de jeunes filles m’entoure avec force signaux démonstratifs de leur admiration, minaudant à qui mieux-mieux avec des sourires mutins et des tenues affriolantes pour les plus délurées. Mais je reste impassible, je ne renvoie aucun sourire, je ne remarque pas les décolletés panoramiques, aussi profonds soient-ils, ni les shorts trop courts. Je sais que j’ai l’air d’un benêt, je pense que c’est le prix à payer pour avoir la paix avec les parents et ma hiérarchie. Mais c’est bien dur, parfois.
    
    En outre, ces très jeunes femmes ne m’attirent pas particulièrement. Je n’ai pas de difficulté à mettre dans mon lit de jolies poupées trentenaires, de celles qui ont déjà vu le loup plus d’une fois, tenté et ...
    ... réussi plus d’un coup, qui n’exigent pas de littérature romantique pour se laisser déshabiller et entraîner au lit. Elles ne se valent pas toutes, il s’en faut, mais justement j’ai eu quelquefois de sacrées belles surprises. Je poursuis ma quête, espérant bien trouver un jour celle qui me fera définitivement tourner la tête.
    
    Ma dernière conquête, que j’ai emmenée chez moi, m’offre le charmant spectacle d’un mont de Vénus totalement libéré de toute toison, mais d’une façon si parfaite, montrant bien qu’il ne peut s’agir de rasoir, que j’en suis fort surpris. Elle me révèle que ce résultat est dû à une technique spéciale, l’épilation à la cire, et à l’habileté d’une esthéticienne, son amie Josée.
    
    Ce prénom provoque en moi un trouble certain : j’ai connu une Josée, voilà quelques années, employée dans un salon d’esthétique, et j’ai vécu avec elle une mésaventure qui est restée gravée dans ma mémoire comme l’un de mes pires souvenirs. J’obtiens facilement de mon amante les coordonnées de cette Josée, sous le prétexte de la consulter pour me faire à moi aussi, un pubis glabre.
    
    Je me poste un soir non loin de son salon professionnel et j’attends de la voir sortir, sa journée finie. Ensuite je la suis aussi discrètement que possible et elle disparaît dans un immeuble moderne. Il y a là une plaque de sonnettes avec les noms en regard et la grille d’un interphone. Je repère facilement la sienne et j’appuie dessus. Un moment après l’interphone dit :
    
    — Oui ? Qui êtes-vous ?
    — ...
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