1. Alain et Josée


    Datte: 15/12/2018, Catégories: fh, fplusag, hsoumis, fdomine, humilié(e), Oral pénétratio, fouetfesse, voisins, f+prof, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    ... travaillé par sa libido. Elle habitait un minuscule appartement au troisième étage de la maison de mes grands-parents. J’avais à ma disposition un petit lit aménagé dans la lingerie de ma grand-mère, sur le même palier que Josée. Je venais souvent voir mes grands-parents, m’évadant ainsi du centre-ville et de l’atmosphère pesante de mon chez-moi.
    
    L’une de mes occupations favorites consistait à pister par le fenestron de ma mansarde l’arrivée de Josée, en fin de journée. Je dévalais l’escalier, me planquais au rez-de-chaussée, et dès que la porte d’entrée signalait son passage, je m’engageais derrière elle dans l’escalier, essayant d’apercevoir quelque chose d’intéressant sous sa jupe. Je ne vis jamais rien, même pas la lisière de ses bas, mais elle, par contre, avait bien repéré mon manège.
    
    Un beau soir, arrivés tous deux en haut, alors que je me prépare à entrer dans mon réduit, je me sens saisi par un poignet et entraîné à une allure folle de l’autre côté du palier, dans l’appartement de Josée, qui ferme sa porte à clé et met celle-ci dans sa poche. Puis elle me cramponne à nouveau, m’entraine près d’une chaise où elle s’assoit et attrape à deux mains mon short à ceinture élastique, le descend brutalement jusqu’aux genoux avec le slip qui a suivi, et me bascule à plat ventre sur ses cuisses. Elle a été si vite, avec une détermination et une autorité telles que je n’ai eu aucun réflexe efficace pour l’en empêcher. Sa fureur manifeste, jointe à ma culpabilité évidente, ...
    ... m’ont paralysé.
    
    — Je vais te guérir de cette maladie d’aller voir sous les jupes des filles, gronde-t-elle entre ses dents.
    
    Elle claque aussitôt mes fesses, à grandes gifles douloureuses. J’essaie de me protéger de la main droite, qu’elle saisit et rabat sur mes reins et reprend la raclée de plus belle, c’est interminable. Elle ne s’arrête que lorsqu’elle n’en peut plus, la main aussi brûlante et douloureuse que mes fesses. Moi, je pleure et sanglote misérablement. Elle m’intime l’ordre d’évacuer les lieux, je me relève difficilement, tâche de rattraper mes culottes tant bien que mal ; elle se lève pour déverrouiller la porte et je m’enfuis.
    
    Dans ma chambrette, j’ai vite enlevé short et slip, mouillé une serviette d’eau froide et appliqué celle-ci sur le brasier qui se tient là où j’avais un postérieur et je me couche à plat ventre, cuvant ma rage et ma honte. Le feu de mon cul s’éteindra peu à peu mais même quarante-huit heures après je ne m’assoirai qu’avec précaution.
    
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    Après ce bon déjeuner nous nous sommes repliés chez elle. Installés confortablement sur le canapé, avec un petit verre de poire, nous reprenons notre sujet central.
    
    — Si tu veux bien, je souhaiterais entendre de ta bouche à quoi ressemble ton mal-être. Je crois que j’ai peut-être une bonne idée pour te venir en aide, mais je voudrais en être sûre. Arme-toi de courage, et tente de me faire toucher du doigt ce tu ne parviens pas à surmonter, tu veux bien ?
    — Oui, je vais ...
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