1. Alain et Josée


    Datte: 15/12/2018, Catégories: fh, fplusag, hsoumis, fdomine, humilié(e), Oral pénétratio, fouetfesse, voisins, f+prof, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    ... essayer. Comment te dire : chaque fois que je m’examine, que je me compare à d’autres, il me reste une tache, une souillure, qui m’interdit de prétendre à être un homme responsable. Je sais bien que c’est puéril, que c’est une vision de petit garçon puni qui n’accepte pas vraiment sa punition, et pourtant ma raison me clame que tu as parfaitement agi, que ta fessée a été salutaire, que je dois t’en remercier, et je t’en remercie, mais il reste cette putain de vanité masculine qui a été foulée aux pieds, cette honte inexpiable d’avoir mérité ta colère.
    — Je crois que je comprends. Je crois même voir où est l’erreur que j’ai commise, ce jour-là. Mais de cela nous reparlerons, si tu veux bien. Il nous faudra un minimum de temps pour te permettre d’effacer cette tache, comme tu dis.
    — Tu as dit que tu avais une idée, tu pourrais m’en dire plus ?
    — Je vais prendre un gros risque : celui de me couper de toi et de me priver de t’aider, alors que je le souhaite si fort. Garde ton calme, s’il te plait ne me quitte pas avant la fin de cette discussion. Tu promets ?
    — Je te promets.
    — Alors voilà : c’est une thérapie réversible, symétrique ; tu vas me donner une fessée, ensuite je t’en donnerai une en retour. Mais il y aurait encore mieux à faire.
    — C’est-à-dire ?
    — Là, je joue quitte ou double, et je tremble. La méthode la plus bénéfique pour toi serait d’inverser l’ordre de ces deux fessées.
    
    J’ai pris ma tête dans mes mains, je tremble de tout mon corps. Elle me demande de ...
    ... retourner en enfer, de retourner au pays de la honte, de lui faire encore don de ma fierté. Le silence entre nous est épais et se prolonge. Mon cœur qui battait la chamade se calme petit à petit. Mon cerveau recommence à fonctionner normalement. J’émerge du chaos où Josée m’a plongé et une évidence s’impose : elle m’a dissuadé de me comporter comme un sale type, fut un temps, pourquoi ne pas lui faire confiance pour me guérir maintenant ? Il faut que je me décide, et les mots les plus difficiles finissent par passer mes lèvres :
    
    — Josée, je te fais confiance. Donne tes ordres, j’obéirai aveuglément.
    
    Elle s’est levée, est venue s’agenouiller à côté de moi, m’a pris la tête entre ses mains, l’a appuyée contre son sein, et m’a chuchoté :
    
    — Mon petit, tu viens de me donner la plus grande joie qu’un homme m’ait jamais donnée : ta confiance dans une épreuve que tu crois insurmontable.
    
    J’ai fait le tour de sa taille, nous sommes restés ainsi longtemps, elle pleurait de joie.
    
    — On y va ? dit-elle.
    — On y va.
    — Je ne donnerai pas d’ordre. J’émettrai des souhaits, seulement. Quand viendra mon tour, je suis sûre que tu te conduiras aussi avec délicatesse. J’aimerais maintenant que tu te déshabilles.
    
    Je suis rapidement nu comme un ver. Je n’ai aucune gêne de cette nudité, mes nombreuses conquêtes m’ont vu comme cela. Elle m’attend, assise au milieu du canapé, les genoux joints, raide comme la justice, mais souriante. Elle tapote ses cuisses et je m’allonge dessus, le ...
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