La mère de Jean (9)
Datte: 09/12/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... là ?
— Tu dois me promettre de faire la paix avec ta mère… elle t’aime et s’est sacrifiée longtemps pour que tu sois bien, que tu fasses de bonnes études. Alors j’attends…
— Je vous promets oui, mais nous ne sommes plus fâchés… et la seconde requête ?
— Tu n’essaieras plus jamais de coucher avec elle, plus jamais tu entends ? Une mère n’est pas une amante ou une maitresse. Elle a raison de ne pas te donner satisfaction. Tu ne peux pas lui demander un pareil sacrifice. Son amour est bien plus fort que celui auquel tu aspires parfois avec Adèle.
— C’est… c’est elle qui vous a parlé de cela ?
— Je ne suis pas devin. Bien entendu que nous avons évoqué tes demandes idiotes. Et je la comprends et l’approuve. Imagine comment ensuite vous vivriez cela. Plus jamais vous ne vous regarderiez de la même manière. Un jour, tu auras une femme, des enfants et tu serais d’accord, tu apprécierais que ton fils baise sa mère… ta femme quoi ?
— Ben…
— Même les animaux, ne font pas ce genre de saloperie. Alors, je vais remplacer ta mère pour un long, un bon moment. Nous allons tous les deux prendre un maximum de plaisir, mais si jamais tu recherches encore à coucher avec elle, je te le ferai regretter amèrement. Et dans ce domaine, tu ne peux pas imaginer comme je suis capable de faire souffrir un homme… alors un presque gamin… réfléchi, mais fais vite.
— Vous voulez bien me détacher ? S’il vous plait ?
— Mais bien sûr. Tu as déjà une vague idée de ce que peuvent être ...
... les tourments qu’une femme peut infliger à un type.
— Oui ! J’ai compris et je vous jure que je ne parlerai plus jamais de cela ni n’essaierai plus non plus.
— À la bonne heure ! Voilà qui est sage. Alors vient mon mignon. Tu as droit à ta récompense, comme un gentil toutou. Viens chercher ton susucre.
Jean les bras endoloris par la station dans le dos se demanda si elle se moquait ou si Lucie parlait sérieusement. Il se leva lentement avec le sentiment d’être ridicule, le chibre à l’air devant la nana dont la jupe était retombée en masquant son bas ventre. De son index replié, elle lui faisait pourtant signe de venir à elle. Il osa donc affronter les deux mètres qui les séparaient. Dès qu’il fut suffisamment proche, elle le prit gentiment par la main.
— Viens ! Sur mon lit nous serons bien mieux. Tu m’as donné ta parole ne l’oublie jamais.
— Oui Madame…
— Plus de madame, c’est Lucie… et tu peux aussi me tutoyer.
Ébahi, il se laissa guider vers la chambre. La pièce était assez commune. Un grand lit, une armoire-penderie et une sorte d’énorme et massive commode surmontée d’un immense miroir, lequel renvoyait l’image du plumard. Elle se retourna brusquement, échauffée par les attouchements qu’elle avait prodigués sur Jean durant presque une heure. Face au jeune homme, elle enroula ses bras autour du cou masculin et le premier baiser arriva là, debout aux abords de la couche. Ensuite tout devint confus dans la tête du garçon.
En quelques minutes sans même ...