La mère de Jean (9)
Datte: 09/12/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... s’en rendre compte, il fut l’objet d’un savant déshabillage. Cette fois, elle irait jusqu’au bout de ses envies et il devrait soit suivre, soit subir. Elle le propulsa d’un coup sur les couvertures. Puis toujours aussi rapidement, elle aussi retira tous ses vêtements. Le corps de la brune apparut dans la lumière et lui bandait toujours. Il restait allongé sur le dos alors qu’elle, debout, s’installait en passant un pied de chaque côté de son visage. Il avait une vue inouïe sur son entrejambe.
Cette Lucie, lisse entièrement lui montrait sa chatte dans sa version la plus crue. Lentement elle fléchit sur les genoux et le jeune homme vit descendre vers son visage cette lune fendue. Mais elle aussi prenait son temps, pour le faire à nouveau languir. Cette fois, l’entaille humide était juste à quelques centimètres de son nez. De ses mains Lucie prit appui sur les jambes de Jean. Il tressaillit lorsque le sexe féminin prit contact avec sa figure. À ce moment-là, elle se pencha seulement en avant, et le jeune homme sut qu’elle voulait une autre forme de baiser.
Alors docilement, il s’exécuta. Sa langue vint d’abord gouter cette longue balafre aux lèvres plus sombres, presque brunes. Puis elle en découvrit tous les contours avec un regain de vitalité qui se traduisit immédiatement par un plus grand raidissement de la canne entre ses jambes. Parallèlement à cette découverte, il sentit qu’un four venait de happer son mandrin. Lucie aussi avait gobé sa queue et elle reprenait sa ...
... manœuvre de succion. Le soixante-neuf entrepris avait une saveur toute particulière.
Lentement il lissa, embrassa, suçota cette plaie aux saveurs très spéciales. Il comprit qu’il devait lui faire du bien quand elle ne s’occupa plus de sa pine. Les gémissements qu’elle poussait lui revenaient comme un hymne, un psaume au sexe. Cette première envolée d’une gorge féminine qui chantait pour lui, et pour lui seul une Marseillaise aux accents particuliers. Et devant les yeux du garçon, dansait une lune qui appelait le loup. Sous la caresse de la langue, elle se frottait de toutes ses forces pour qu’il prospecte plus profondément sa chatte. Et il osa enfin oublier tout.
D’un coup, sans trop savoir pourquoi, il la sentit tressauter. Il recula un peu sa langue de l’endroit qu’il venait de découvrir. Mais c’était seulement pour mieux y revenir. Ensuite, il se contorsionna pour remonter ses bras et lui ouvrir de ses doigts cette étrange fleur. Tout en haut de celle-ci, un piton bien différent du reste surgissait, ressemblant à une bite miniature. Un gland gros comme un grain de maïs était sous la baveuse de Jean. Et chaque fois que sa langue effleurait ce mini mont, elle avait la chair de poule.
Combien de temps le gaillard énerva-t-il ce pic à tête de velours rose ? Il ne s’occupait plus que de celui-ci alors que ses doigts naviguaient dans le conduit complètement trempé. Le majeur et l’index associés allaient et venaient dans cette mer aux vagues claires. Elle criait maintenant ...