1. La mère de Jean (9)


    Datte: 09/12/2018, Catégories: Divers, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... être Adèle avança vers le garçon. Quelques minutes après, les prunelles brillantes, elle s’asseyait près du branleur. Lui avait stoppé toutes allées et venues de son bras. Il attendait simplement. Pourquoi lorsqu’il lui agrippa le poignet, se laissa-t-elle faire ? Grand mystère des femmes. Les doigts menus encerclèrent la bite et c’était elle qui désormais donnait le la à cet ascenseur charnel sur le tube de chair raide. Elle ne rechigna guère plus quand la main libre lui appuya sur la nuque. L’intention évidente était de faire plonger sa tête pour que sa bouche s’emparât de la bête frémissante d’impatience.
    
    Alors, la rousse pour la seconde fois en quelques semaines se retrouva avec le sexe de ce Guy dans la bouche et elle refit sans rechigner les gestes ancestraux qui permettaient aux hommes d’adorer les gorges féminines au plus haut point. Cette femme était une fieffée cochonne et il n’en démordrait plus. Mais qu’elle suçait bien, qu’est-ce que c’était bon ! Il lui lâcha la nuque et la laissa se débrouiller toute seule. Comme une grande, elle lui taillait une pipe mémorable. Mais ce qui le surprenait le plus, c’était qu’elle le fasse avec autant d’élan, de générosité dans le don de soi. Le plaisir ne se préoccupait jamais de connaitre l’âge des personnes…
    
    — oooOOooo —
    
    Sur son siège Jean restait à la merci de la belle Lucie. Celle-ci alternait le chaud et le froid. Assise sur ses genoux, tantôt elle se frottait la chatte sur la bite raide, mais marquait de longues ...
    ... pauses et écrasait de tout son poids la lame et les testicules. Il soufflait plus fort, se retenant de toutes ses forces de la supplier. Il était à deux doigts d’implorer une caresse, ou qu’elle abrège le supplice qu’elle lui infligeait. Depuis de longues minutes, elle jouait à l’amener au bord de l’explosion pour mieux l’instant suivant l’abandonner en relâchant sa pression.
    
    Puis le jeu ne l’amusa plus. Elle se releva, mais ne délia pas notre gaillard qui tressautait sur l’assise paillée. Se soulager, ou qu’elle le fasse, sa position devenant intenable et il psalmodiait un chant étrange. Lucie souriait, contente d’avoir amené le jeune homme aussi loin. Il se montrait d’une endurance hors du commun. Il n’avait toujours pas éjaculé malgré le traitement de faveur qu’elle lui infligeait.
    
    Mais elle avait aussi réussi à se donner chaud et après qu’il ait bercé sa tête un long moment de droite à gauche, elle décida d’en finir. Du reste Adèle devait se demander, à moins que la fine mouche ait tout saisi depuis le début, son amie devait se poser des questions. Donc clémente, elle sonnait l’hallali. En revenant vers la chaise où il gesticulait comme un beau diable, elle resecoua le cocotier.
    
    Croyant qu’elle allait le finir à la main, il l’implora de faire vite ou de le détacher.
    
    — Tu veux vraiment qu’on baise tous les deux ? C’est ton souhait ?
    
    — Oui ! Je vous assure que oui.
    
    — Alors je veux que tu me promettes deux choses.
    
    — … ? Je ne saisis pas ce que vous dites ...
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