La délurée Justine est bonne à marier
Datte: 08/12/2018,
Catégories:
f,
fh,
cadeau,
Inceste / Tabou
campagne,
soubrette,
cérébral,
revede,
init,
exercice,
portrait,
Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe
... le ferai, pourtant…
— En vous dévorant des yeux, me laisserez-vous toucher la dentelle qui protège votre chasteté ?
— L’idée me plaît, si…
— Fermerez-vous les yeux pendant que je la ferai glisser le long de vos jambes pour votre plaisir ?
— Je pourrai choisir de vous regarder faire, avoue Justine, surtout si…
— Choisissez, choisissez belle demoiselle, accepte Louis, dont la voix vibre d’un début d’excitation.
Alors Justine d’une voix excédée s’exclame :
— Je ne demande que ça, pouvoir choisir ! si vous me laissiez enfin parler, car vous ne cessez de m’interrompre ! Mon ami, que ferez-vous d’autre pour me plaire ? J’ai bien envie de le savoir, reprend-elle d’une voix apaisée.
— Belle enfant, pendant que votre curiosité féminine mènerait vos doigts à caresser vos poils soyeux, j’envisage de vous y aider. Imaginez avec moi la scène : Bien vite votre humidité vous pousse à trouver le chemin intérieur de votre intimité et vous y engouffrez votre index avec délice. Après cela, vous espérez mon doigt, puis ma langue doucement râpeuse. Elle excite avec délicatesse vos parties génitales et bouge sur vos chairs aussi vite qu’elle le fait en bavardant avec grand renfort de salive. Puis je présente à votre trou béant d’impatience mon monstrueux avantage gorgé de sang. Vous me suppliez encore et encore de vous honorer, mais je tarde à vous satisfaire. L’attente a du bon ! Mon gland vous caresse longuement la vulve sans ouvrir votre hymen. Votre grotte encore vierge de toute ...
... visite patientera. J’ai pour vous le plus grand respect et je ne suis pas de la trempe de ceux qui bousculent les dames avec une virilité intempestive et gaillarde et prennent d’assaut les forteresses avec moult grivoiseries et mots paillards !
— Je ne suis pas vraiment convaincue… par votre manière de faire.
— Comment cela, jolie demoiselle ?
Après un silence de quelques secondes, Justine reprend d’une voix assurée et ferme :
— Vous ne cessez de me conter fleurette et vous parlez de douceur et de délicatesse pour ne pas offusquer ma pudeur. Ces bienfaits vous ravissent sans doute et c’est tout à votre honneur de me ménager, mais pensez-vous que ce soit vraiment à mon goût ?
— Je ne comprends pas, délicieuse créature.
— Je vais être plus claire. Iriez-vous jusqu’au bout de vos forces en gestes de plus en plus hardis ? jusqu’à me faire vivre une ripaille charnelle. Si c’est oui, je vous laisserais m’exciter, me doigter, me pourlécher l’entrejambe. Vous encorderez mes quatre membres jusqu’à les écarter de manière indécente pour ouvrir ma vulve en grand, ainsi que mes fesses. Vous pourfendrez d’un coup bien mené ma fente coulante de plaisir, ou vous fourrerez votre pieu entre mes fesses. C’est au choix ! mais l’addition est à mon goût, sachez-le ! Mes inspirations se tournent vers une débauche outrancière. Donc, par pitié ! lorsque je serais plus qu’échauffée, promettez-moi d’abuser de mon corps sans douceur exagérée, car des assauts brusques et un acharnement lubrique ...