1. La délurée Justine est bonne à marier


    Datte: 08/12/2018, Catégories: f, fh, cadeau, Inceste / Tabou campagne, soubrette, cérébral, revede, init, exercice, portrait, Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe

    ... m’a confiée c’est que cela concernait une dame, sans jamais vous nommer. Je lui ai proposé mon aide. J’ai compris tout à l’heure qu’il s’agissait de vous.
    
    Ainsi les cornes sciées avant même d’avoir eu le temps de pousser, monsieur Montfort semble à présent bien penaud, fort embarrassé. Cela ne se fait pas de savoir que sa femme réchauffe son lit avec de fort bonnes idées. Louis, Justine, c’est déjà beaucoup, mais devant son fils !
    
    Un homme si calme, si réservé, passant des heures et des heures dans sa chambre, quand il n’est pas à s’occuper de leurs vignes, plutôt que de courir le monde et ses divertissements. Le père sait bien que son fils devra un jour se dessaler, mais les mots entendus sont si crus ! et le visage de Constantin s’est décomposé dès les premières répliques.
    
    À présent, il semble bien ressaisi, à l’entendre :
    
    — Père, mère, n’en voulez aucunement à Justine, elle n’y est pour rien si ce secret vient d’être dévoilé. Elle avait à se défendre et s’en est sorti honorablement. De plus je suis fort aise d’en apprendre un peu plus sur les femmes. À quand le prochain cours ? ajoute-il en riant en s’adressant à tous avec humour.
    
    Mais son regard s’est fait plus insistant pour Justine. Il a gagné son effet en détendant l’atmosphère et a amusé son père par la même occasion, puisque celui-ci rajoute en riant à son tour :
    
    — Mon fils, apprenez que les femmes sont rusées et ne manquent pas d’être malignes lorsqu’elles sont amoureuses et possèdent ...
    ... l’intelligence de ne point s’oublier en faisant plaisir à leur époux. Trouvez-vous une épouse pareille et vous serez comblé !
    — Merci père, vous êtes un exemple pour moi. Je retiens vos propos et je gage qu’une telle femme sera à mon goût. Je vous propose que nous retournions au salon à présent.
    — Allons-y de ce pas. Justine une promenade vous fera le plus grand bien, vous l’avez mérité.
    — Merci monsieur.
    — Louis, ne nous en voulez pas, rien n’était contre vous.
    — Je l’ai bien compris monsieur.
    
    —oooOooo—
    
    Justine toute joyeuse fait demi-tour et se sauve d’un pas léger. Sa jupe laisse voir le bas de ses jupons qui se balancent et caressent ses mollets à chacun de ses pas. Elle leur tourne le dos et quelque chose se passe, en elle, autour d’elle, partout, quelque chose qui s’infiltre à travers sa jupe, comme si cela traversait le tissu, puis ses jupons. Ses fesses frémissent. Elle ne veut pas se retourner, ni doucement, ni vivement, mais elle est persuadée qu’il s’agit du regard de Constantin posé sur elle, inquisiteur, transperçant.
    
    Cet homme, très attirant à vrai dire… et savoir que ses yeux sont posés sur ses rondeurs. Peut-être qu’il sourit, peut-être qu’il apprécie, c’est très plaisant, mais que c’est donc difficile de l’avouer ! Elle n’est pas vraiment déstabilisée, juste troublée, amusée aussi. Il la fixe et la déshabille sans gêne, une impression qui se transforme en certitude au fur et à mesure qu’elle avance.
    
    Elle le sait, elle le sent !
    
    C’est délicieux de… ...