L'amante religieuse
Datte: 07/12/2018,
Catégories:
fh,
religion,
campagne,
amour,
Oral
pénétratio,
confession,
Humour
initfh,
Auteur: Bouldegom, Source: Revebebe
... aussitôt à la conquête de ses sensations. Je quitte son épaule devenue lieu pacifié et je descends le long de son flanc. Lorsque ma main s’aventure sur son sein, elle fait un bond violent et recule. Je ne dis rien, je ne bouge pas. À des tout petits bruits tristes, je comprends qu’elle pleure.
— Excuse-moi… je ne croyais pas te choquer…
— Mais non, c’est moi qui suis bête, je te l’ai demandé, mais c’est difficile. C’est si fort. Tu recommenceras ?
Elle revient un moment dans mes bras, mes mains bien sages sur ses épaules. Puis, après un petit bisou qui m’est tombé sur le nez, elle s’en va, laissant à nouveau une grande place froide.
Ce matin, nous sommes allés dans l’appartement de ses parents, son appartement. Elle a trouvé une boîte de photos et une caisse de diapositives. On est passés chez un de mes amis qui m’a prêté son scanner à diapos, et j’ai passé le reste de la journée à lui apprendre à se servir de la souris (elle n’avait jamais eu l’occasion ou fait la démarche au couvent), de l’ordinateur et du scanner. Elle est intelligente et apprend vite, mais comme elle a du mal à domestiquer la souris ! Elle appuie dessus comme une brute et fait de grands gestes maladroits. Elle me dit texto :
— Je suis une mauvaise chatte !
Je suis bien obligé de lui expliquer pourquoi j’éclate de rire. Elle en est tout émoustillée.
Ce soir, Suzanne me fait une grosse surprise : elle a apprisSuzanne et nous la chantons tous deux en souriant. Qu’est-ce qu’elle chante ...
... bien ! Joan Baez peut se rhabiller ! Elle chante avec ferveur et je sens qu’elle m’offre sa voix et son plaisir.
Quand Suzanne me rejoint, dans sa chemise de nuit blanche, je lui demande si on peut laisser un peu de lumière. Elle me répond :
— Bientôt, pas encore.
Une fois couchée, elle me dit :
— Mets ta main devant toi, je vais essayer de la caresser avec mon sein.
Je trouve l’idée drôle et judicieuse. Elle tâte d’abord avec sa main pour localiser la mienne, puis, tout doucement, elle vient appuyer son sein dans ma main. Elle reste une minute sans bouger, puis elle me demande de le caresser. Je l’empaume très doucement et le caresse tendrement à travers la chemise. Elle ne dit rien, mais pousse un peu vers moi. Cette poussée est si excitante que je suis tout près d’éjaculer ! Je remets ma main sur son flanc comme si de rien n’était et je me calme.
— L’autre, s’il te plaît.
Oh oui, ça me plaît. Elle s’est étendue sur le dos, et je peux caresser avec beaucoup de délicatesse ses deux seins. Ils ne sont pas très gros, mais autant que je peux en juger au seul toucher, bien formés et très toniques. Suzanne ne fait pas de commentaires. Je suis tenté de descendre un peu vers son ventre, mais soyons patient. Elle me chuchote :
— Il n’y a pas que moi qui suis spécialiste des saints…
C’est elle qui me surprend. Elle se rapproche, passe sa main sous mon tee-shirt, et me caresse doucement le flanc et le dos. Je voudrais bien faire pareil, mais sa chemise de nuit ...