L'amante religieuse
Datte: 07/12/2018,
Catégories:
fh,
religion,
campagne,
amour,
Oral
pénétratio,
confession,
Humour
initfh,
Auteur: Bouldegom, Source: Revebebe
... Elle n’a pas raconté grand’chose. J’ai aimé qu’elle dise :
— J’ai rencontré quelqu’un de gentil qui me met au monde.
En fait, je ne la mets que dans mon monde. Nous sommes allés une fois au cinéma à l’Eden, et deux fois en courses à Géant. Mais la foule et la profusion de richesses de l’hypermarché l’impressionnent terriblement. J’ai idée que, sans sa cornette, elle se sent un peu nue. Pourtant, elle passe certainement tout à fait inaperçue. J’ai arrangé ses cheveux qui ont un peu poussé, et elle est devenue simplement une jolie femme. Je voudrais l’emmener à la piscine, mais elle résiste. Malgré tout, avec mon aide, elle a commandé un maillot de bain sur Internet. Jaune vif !
Pendant ses règles, elle est venue chaque soir très tard, et a passé la nuit avec moi. Elle m’inonde de tendresse muette, et je dors comme un loir. Pendant une douzaine de jours encore, c’est le câlin – caresses – cajoleries – qui reste de mise. Mes tentatives d’insinuer une main sous l’élastique de sa culotte ou même au-dessous de sa taille se heurtent non pas à un refus, mais à sa main qui arrête doucement la mienne :
— Pas encore, attends…
Parfois, elle pose sa main sur mon slip et pose sa question muette.
Ce soir, pendant le repas, elle a un air guilleret et, si le mot ne lui allait pas si mal, un peu lubrique. Je lui ai appris à jouer au scrabble, mais ce qu’elle préfère, c’est chanter. J’ai ressorti mon vieux livre des chansons populaires, et on se fait un récital ...
... avecPerrine était servante,La belle au Boué,La claire fontaine,Ils étaient trois petits enfants et tant d’autres. Elle raffole des paillardes.Jeanneton fait maintenant partie de son répertoire. Une diva angélique chante : « La morale de cette morale, c’est qu’sur quatre y a trois couillons… ».
Quand elle me rejoint au lit, elle me demande de laisser un peu de lumière. C’est presque moi qui suis gêné ! J’ai un variateur sur la lampe de chevet et je laisse juste un minimum. Comme les jours précédents, elle m’enlève mon tee-shirt. Elle regarde et caresse mon corps du bout des doigts. C’est beaucoup plus émouvant que dans le noir. En fermant les yeux, elle se redresse et enlève également son tee-shirt. Elle est vraiment belle, très blanche dans la lumière orangée de la lampe. Ses seins un peu en poire ont des aréoles et des tétons très sombres. Elle cache ses seins avec ses mains. Je lui dis qu’elle est magnifique. Elle dit que je suis bête et elle veut que j’éteigne. Dès que la nuit est revenue, elle se serre contre moi, son visage tout près du mien.
— Embrasse-moi ! Fais-moi un vrai baiser !
Comme j’hésite, elle pose sa bouche sur la mienne. Au début, elle a du mal à desserrer les dents, mais elle finit par accepter ma langue. C’est drôle, j’avais fini par penser que le baiser est spontané et évident, mais non. Sa bouche est douce et chaude. Après quelques tâtonnements, elle aventure sa langue au-delà de ses lèvres, et en quelques minutes elle devient une embrasseuse… ...