1. Adam et Ève la salope


    Datte: 05/12/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... mon voisin.
    
    C'était Adam, un costaud et ancien légionnaire. Mon mari en avait fait un peu sa tête de turc. Il moquait son bégaiement et son cerveau si embrumé. Qui plus est péché éminent il avait il y a peu convolé en justes noces avec une jeune réunionnaise de vingt-cinq ans tandis que lui arborait fièrement ses soixante ans. Cela n'avait rien pour me choquer. Notamment L’Été fenêtres ouvertes, on entendait la petite jouir ce qui révulsait passablement mon mari. J’assénais alors : « Ton con d'Adam en tout cas semble y faire ». Par ailleurs je semblais lui avoir tapé dans l’œil.
    
    Mon mari devait avoir repéré mon succès auprès dudit benêt. Celui-ci n'avait pas l'heur de me plaire mais j'en jouais pour humilier mon homme. Tout cela me revint du coup ce soir-là tandis qu'Adam m'expliquait qu'il avait surpris il y peu deux gamins cassant un carreau d'une pièce du sous-sol pour rentrer dans la maison. Il avait hurlé et pu les faire fuir. Il avait hélé une voiture de flics. Ceux-ci nous invitaient à venir déposer plainte. Ce brave Adam avait commencé à colmater la brèche réparant le carreau cassé. Il devait pour finir accéder à la pièce du sous-sol. J’appelais mon mari.
    
    Celui-ci dédaigneux et en pleine réunion me dit de laisser faire Adam te de le remercier. Il lui promettait l'un des bons vins de notre cave. Je trouvais dans son propos quelque chose du mépris de classe. Jamais n'eus-je autant honte d'être de ces grandes bourgeoises. Rapportant le propos du mari, ...
    ... j’exagérais la reconnaissance de celui-ci. Je me mis dans la tête qu'Adam pourrait choisir lui-même les bouteilles qui lui conviendraient. Assurément aurais-je droit à une scène après une telle initiative. Je riais du bon tour joué au mari. Adam m'écoutait ému. Il regardait mes longues jambes.
    
    Je tins à lui tenir compagnie. Il me dit que je n'étais pas tenu de subir, le bruit et les odeurs de son labeur. De toute façon il n'en aurait pour guère longtemps. Je tins à rester alors et à papoter. Je sus que sa jeune épouse avait du en vitesse aller au chevet de son papa à l'autre bout du monde. Au mieux elle ne reviendrait pas avant trois semaines. Je vis que ce délai lui pesait. Nous ne savions que trop qu'ils forniquaient tous les deux au quotidien. J'eus idée qu'il avait envie d’une chatte. Se branler ne devait le contenter. Tout au plus pouvait-il aller au fameux bois rétribuer une pute.
    
    Le téléphone sonna. Mon mari s'excusait de ne pas rentrer de suite. La réunion terminait. Le patron et d'autres cadres insistaient pour aller faire un bon dîner avec lui. En fait il avait eu l'assurance que son poste lui était conservé voire-même qu'une prochaine promotion se profilait. Il exultait. Je le sentis ému aussi presqu'au bord des larmes. J'affectais d’être à son diapason et le félicitais. Ce con avait oublié tous les propos insultants de la journée. Je devais lui pardonner et mettre cela au compte du désarroi d'alors. Je lui dis de prendre son temps. De ne rentrer tard et de ne ...
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