1. Adam et Ève la salope


    Datte: 05/12/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... la tombe du renoncement.
    
    Du moins faisais-je cela pour quelques collègues dont certains avaient été de mes amants dont le patron lui-même lequel il y a peu m'appelait des fois avant dix-huit heures et m'invitait à me glisser sous le bureau pour une pipe et pour peu ragaillardi m’att****r et me fourrer dans un fauteuil large nous ouvrant les bras. A présent j'avais été supplanté par de plus jeunes dans le même exercice. Peu après j'eus la consolation de subjuguer un jeune stagiaire que je déniaisais au quotidien. Je ne maintenais à présent qu'une réputation de salope déchue. Je jouais encore des fois les utilités.
    
    Ce fameux jour je dus essuyer le regard de mépris des rivales. On eût dit que mon mari leur avait soufflé cela. Les hommes point en reste crurent devoir sans doute et lâchement manifesté le même dédain et mine amusée. Etais-je si grotesque que cela ? Un moment me considérais-je dans le miroir de nos toilettes. Il est vrai que j'avais outré mon maquillage. Peut-être devais-je à ce simple détail de scandaliser le quidam. Plus tard je croisais mon stagiaire et ex-amant lequel en conversation avec une minette se fit fort de m'ignorer comme s'il fut pris de honte de notre ancienne relation.
    
    C'en fut trop d'autant que je reçus du mari ce SMS lapidaire : « Chute des températures cette après-midi. Prends pas froid à ton cul ! » Décidément cette canaille me cherchait. J'aurais voulu sur le champ m'offrir à n'importe quel mâle de l'étage. En des temps plus glorieux ...
    ... on m'ouvrait la porte et me sautait volontiers dessus. Je les voyais tous occupés par de plus jeunes rivales. Je partis la tête basse ce soir-là. Je longeais au chemin de retour un bois où sévissaient des filles se prostituant. Je les enviais. Je les eus volontiers rejoins pour faire jouir un client et le délester de sa monnaie.
    
    Je n'aurais pas déparé dans ce contexte. N'y avait-il pas des créatures plus vétustes que moi et autrement plus peinturlurées. Je sais que d'intarissables cochons ont une certaine délectation pour ce genre de pute. Cela ne me répugnerait pas d'essayer un jour. En même temps ce serait me venger d'un mari qui me snobait. Finalement je vins à me ranger sur le côté peu avant de parvenir au bout de ce bois. Je n'attendis guère longtemps. Une voiture me dépassa, s'arrêta et fit une marche arrière jusqu'à venir à mon niveau. Carreau baissé un type à lunettes me demanda : combien ? J'inventais.
    
    Il se gara derrière mon véhicule. Soudain je démarrais tandis qu'il venait benoîtement à ma rencontre. Prise de panique je regardais plusieurs fois qu'il ne me poursuivit. J'étais honteuse. Je n'avais qu'une envie de rentrer chez moi et de prendre une bonne douche pour me laver de cette souillure. Cette fois je me ralliais au point de vue sage même si sévère de mon mari. Je n'étais plus d'âge à jouer au sexe ni à la séduction. J'étais prête à prendre d'irréversibles résolutions. Le soir tombait déjà dans cette fin de septembre. Quelqu'un me fit signe. Je reconnus ...
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