1. Adam et Ève la salope


    Datte: 05/12/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    Qui n 'a eu un jour son coup de folie ? La vie en un instant bascule dans l’irraisonnable, l'irrationnel. On est peu fier. On en fait par la suite confidence à personne. Ce jour-là je n'aurais pas cru en revenant du boulot que j'allais commettre une grosse bêtise. Aujourd'hui j'en ris à juste titre. Personne je crois n'a été lésé dans cette affaire. L'honneur du mari est quitte car il n'en a jamais rien su. L'intéressé ou le complice aura déménagé fort loin d'ici. Quant à moi je me suis accordé depuis longtemps l'absolution. Il ne demeure plus aujourd'hui que le caractère édifiant de l'expérience.
    
    La rentrée avait été difficile. Les vacances avaient été gâchées entre autre par une météo pourrie et un virus circulant entre nous. Au lieu d'en rire et d'en prendre son parti, chacun en accusait l'autre et choisissait d'entretenir la sédition et la mauvaise humeur sous le toit. Partant tout était irrespirable et chacun chaque matin s'enfuyait volontiers de cette maisonnée. Avec mon mari tout devenait féroce. En fait il gambergeait en son boulot. On évoquait de le débarquer un jour ou l'autre de son poste. Je ne trouvais alors pas mieux que de le snober et de faire la grève du pieu. Je conviens de ma cruauté.
    
    La veille du fameux jour cependant il fut odieux. Il s'était moqué que j'adoptas une jupe si courte laquelle me moulait par trop le cul. Occasion pour lui de me redire que j'avais du gras, des fesses et qu'il aurait été plus digne de renoncer à cette jupe si préférée. ...
    ... Elle n'était plus de mon âge ni de ma dignité. Vexée je ripostais lui balançant des vertes et des pas mûres. Cela finit qu'il me jeta avant de claquer la porte : « Si ça te dit de ressembler à une pute. Qui plus est si vieille ! » Il frappât juste le salaud. Moi-même en étais-je à cette époque a douté de mon propre corps et de ma personne.
    
    Je me souviens. J'étais un peu triste. Il m'avait du coup gâché la fête. Je tirais nerveusement sur le bas de ma jupe afin de masquer le haut des cuisses tandis que je sortais de mon auto ou plus tard que je fus assise à une terrasse de café avec une collègue. En d'autres temps j'eus été flattée voire excitée du coup d’œil égrillard d'un quelconque vicieux. Là je concevais que le même vicieux devait s'exclamer au fond de lui-même : « Regardez cette vieille salope. Ça montre sa culotte. Ça n'a nulle pudeur. » Mon homme avait raison. Je frisais l'indécence. Je m'exposais à la risée de tous.
    
    Je me savais un cul et des jambes remarquables. Du reste est-ce ainsi que j'avais subjugué mon homme dans les premiers temps. Je n'avais eu de cesse toujours de distinguer ces parties de mon anatomie. Il est vrai qu'au terme des beaux jours une jeune fille était autorisée à exhiber cela et non une quinqua tel que moi. Ma fille, jeune maman ne s'était jamais affichée de la sorte. Elle me reprochait assez de ne pas accepter de vieillir et d'éluder mon statut honorable de grand-mère. Tous semblaient devoir se liguer contre moi voulant déjà me confiner à ...
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