1. Adam et Ève la salope


    Datte: 05/12/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... s’enivrer.
    
    Raccrochant je dis avec une joie non déguisée à Adam qui affectait de ne vouloir écouter la conversation : « He oui moi aussi je suis esseulée ce soir. » Je rajoutais inventant sur le champ un conte. « J'avais en vue de partager avec mon mari un savoureux confit de canard. Cela vous dit de le remplacer. Acceptez. Je vous dois cela à tout le moins pour votre dépannage. » Il sembla hésiter mais là je le pointais du doigt fronçant le sourcil et lui rigolant de s’exclamer : « Ok je cède à la force ! » Il me demanda de revenir en une heure pour une douche et afin que je finisse le dîner.
    
    Je calculais que mon mari ne rentrerait pas avant trois heures. Celui-ci était heureux. Il allait boire et manger tout son saoul. N'avais-je pas droit à m'amuser et à fêter aussi sa victoire ? Ce plat Picard ne requérait que trois quarts d'heure pour être réussi. Je pris une douche et me changeais. J'outrais le maquillage cette fois sans scrupule. Je choisis une minijupe de cuir. Peu importe qu'on vit sans façon la naissance de mes bas. La culotte dans le même genre était transparente en une de ses parties. Je voulais qu'il me prît pour une pute ou du moins qu'il put user de moi sans vergogne.
    
    Il ne put réprimer son étonnement à me voir ainsi attifée. Je marquais moi-même de l'hésitation. Je concevais trop tard que j'avais exagéré. Ne lui manquais-je pas de respect en m'offrant ainsi. C'était un homme marié bien qu’abandonné pour un temps par son épouse. Peut-être ...
    ... méprisait-il les femmes faciles ? J'avais préjugé qu'il se tapât sans difficulté une garce. Il n'était pas du même métal des autres hommes. Adam avait l’innocence peut-être du premier homme. Heureusement je me souvins que mon héros avait du talent et parvenait à faire jouir sa femme jusqu'à tard dans la nuit.
    
    Il n'y avait pas à dire. Il devait avoir les couilles pleines. Il avait le pauvre besoin d'un réceptacle. J’eus envie de crier : « Prends-moi. J'offre mes trous ! » Alors usais-je de la vieille recette grossière comme le monde de le faire boire. Pour cela je lui demandais benoîtement à ce qu'il me racontât sa rencontre avec sa jeune épouse. Cet idiot se prit les pieds dans la sentimentalité. J'eus droit à un récit détaillé émaillant cela de verres emplis et aussitôt vidés. Il encaissait comme je le présumais bien l'alcool. Je me gardais bien sûre de le suivre. Ses yeux brillaient fixés sur mes cuisses.
    
    Tapant dans les mains je décidais soudain de nous attabler et de faire un sort au canard. Je tins à le servir. Me frottant contre lui et achevant d’exacerber son désir pour moi ou du moins pour la femelle qu'il avait devant lui tout à portée de main et vraisemblablement enclin à se donner. Ce baroudeur avait du rencontrer maintes fois dans ses pérégrinations ce type de garces presque filles à soldat. Pour ajouter à l'incendie une ou deux fois me baissais-je vers le four lui laissant le loisir de savourer mes deux fesses que je savais belles et partagées du fil invisible d'un ...
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