L'entrepôt
Datte: 03/12/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Resonance, Source: Revebebe
... consacrée à ses sens, son corps frémissant sous les poussées
— Je vais t’enculer… lui dit-il.
Il se retira, Carole se raidit, sentit le gland cherchant l’ouverture, chercha à se détendre.
Elle le sentit peser, commencer à se frayer son chemin, lui infligeant un éclair de douleur, puis s’enfonçant d’un lent mouvement continu, avant qu’elle n’ait réellement eu le temps de réaliser. Il s’immobilisa, lui laissant le temps de l’accommoder, avant de reprendre un lent mouvement de va-et-vient. Elle réalisa qu’il lui fallait éviter le glissement de son membre, qui à chaque fois la martyrisait. Elle remonta ses pieds, les passa derrière lui, l’enserrant étroitement. Elle limita ainsi l’amplitude de son mouvement en elle. Du coup ses hanches se mirent à accompagner les siennes, faisant glisser son bas-ventre sur le papier rêche du sac. Au bout d’un court moment elle commença à oublier la douleur, et tout le reste… L’onde qui remontait à chaque mouvement était délicieuse.
Egoïstement, elle se concentra, voulant à tout prix jouir avant qu’il en ait fini, consciente que la palpitation provoquée par le montée du plaisir, la vie propre qui commençait à s’emparer de ses hanches, la faisant maintenant s’empaler d’elle-même, sèchement, de plus en plus vite, risquaient de précipiter l’orgasme de son partenaire. Elle sentit monter un frisson palpitant, remontant le long de son épine dorsale avant d’exploser dans ses neurones, au moment même où elle percevait la décharge, la force du ...
... premier jet de semence en elle. La jouissance fut d’une violence inouïe, lui arrachant un feulement rauque, animal, venu du fond d’elle-même, tandis que les pulsations de son plaisir se mêlaient à celles du sexe de l’homme qui se vidait en elle.
Alors qu’il reprenait son souffle, elle continua de ressentir spasme après spasme, un plaisir paraissant sans fin, l’épuisant totalement.
Il provoqua une dernière douleur aiguë lorsqu’il se retira. Carole se laissa glisser jusqu’au sol, anéantie.
Elle le regarda se rajuster. Soudain pressé, il lui annonça qu’il devait retourner très vite à son poste et partit sans un mot de plus.
Assise, sa jupe encore relevée, sa peau nue contre le ciment, Carole reprit ses esprits. Le retour au calme, la perception revenue de son environnement, des bruits ambiants lui firent réaliser qu’elle n’était certainement pas seule dans l’entrepôt. Elle entendait des voix, des mouvements. Il lui fallait partir.
Elle finit d’enlever son slip, dont l’élastique avait fini par lâcher. Elle s’essuya tant bien que mal avec les quelques millimètres carrés encore secs, puis le fourra sous un des rayonnages.
Carole quitta l’entrepôt comme elle était venue, butant cette fois sur deux hommes revenus près du camion, qui la regardèrent d’un air surpris. Elle s’excusa en se glissant entre eux, effroyablement consciente de la transparence de la situation, priant silencieusement pour qu’ils ne lui posent pas de question. Ils s’écartèrent à peine, la forçant ...