Le gamin au pensionnat
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Inceste / Tabou
Auteur: charime, Source: xHamster
... guide mon pénis jusqu’à l’orée de celui de Martine.
- Sois doux, extrêmement doux. Prends ton temps, mon Christian. Si tu t’y prends bien, nous te promettons d’autres moments tel que celui-ci. Dans le cas contraire, je te promets les pires sévices.
- Je ne veux en aucun cas lui faire de mal, je veux juste qu’elle jouisse.
- Et tu sais déjà très bien t’y prendre, mon fils. Aller, va et viens en elle, fais-en nous une femme tout en douceur, mon fils.
Je ne reconnais plus cette nonne si vicieuse d’ordinaire. Non mais, grand dieu, je vais dépuceler une fille de mon âge, une ado comme moi. Je prends cela comme une récompense après toutes ces presque dix années d’humiliations, de sévices, dues à mon physique ingrat de gros tas, de nain de jardin, de moche et j’en passe. Maintenant, s’il y avait une récompense que je pourrais choisir, c’est d’aligner les culs de toutes les nonnes sur la barrière qui sépare la cour des garçons de celle des filles et de les fesser de ce fouet long et terriblement douloureux. Je voudrais les entendre hurler, me supplier pendant que la mère supérieure me sucerait ma bite, mon cul. Oui, je rêve, je fantasme.
Mais là, j’ai la plus belle fille du pensionnat et je lui fais l’amour. Et ça vaut tout l’or du monde. À mon oreille, sœur Marie-Madeleine de Jérusalem me glisse d’attendre que Martine jouisse pour déchirer cet hymen qui me barre encore le chemin de ce lieu divin par excellence. Ses mains sur mes fesses, elle me guide savamment, la ...
... nonne. Au moment suprême, Martine n’a pas le temps de sentir ma queue s’enfoncer en elle entièrement. Elle jouit si fort que je dois la museler d’un baiser pour la rendre muette. Bien au fond de son sexe, je ne bouge pas, suivant toujours les instructions de la nonne à la lettre. Sa main claque sur mon cul, mais tout en douceur, un encouragement, un remerciement à l’entendre me le susurrer à l’oreille, sa langue en plus. Pour Martine, ne plus se sentir vierge, c’est comme si je venais de la délivrer d’une froide prison. Elle est comme folle quand ses bras m’enlacent, sa bouche m’embrasse de partout. Deux doigts lubrifier pourfende mon anus, je supplie cette nonne d’arrêter sous peine de jouir dans l’instant. Elle se calme, baise mon dos, ma nuque.
Maintenant, je vais et viens dans cet étroit conduit si chaud et halitueuse à souhait. Je fais l’amour à une fille de mon âge et j’adore autant qu’elle adore. La nonne vient poser sa chatte moite sur la bouche de Martine, me faisant face. Pendant qu’elle m’embrasse, elle se met à uriner dans cette bouche qui la boit. Martine avale, c’est juste extraordinaire et cela ne me dégoute même pas, tout comme Martine qui a empoigné fermement la croupe de la nonne. Je dois être réellement fou de ces femmes, de ces moments si voluptueux pour que je veuille gouter à la pisse. D’une main sur la poitrine, je penche la nonne en arrière. S’appuyant sur ses bras, je peux aisément laper son sexe. Le gout me plait, me fascine, je veux en boire à mon ...