Le gamin au pensionnat
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Inceste / Tabou
Auteur: charime, Source: xHamster
... surveillés. Une nonne, chaque nuit, patrouille dans notre couloir, à l’écoute du moindre bruit suspect. Entre notre aile et celle des filles, il y la partie réservée aux religieuses. Clairement, passer d’une aile à une autre, relève du suicide. Il y en a qui ont tenté la chose. Mal leur en a pris, cachot, flagellation, pinces, ils ont vécu l’enfer pour ainsi dire. Et je parle des filles comme des garçons.
Autant vous dire tout de suite que rentrer dans sa famille, c’est un week-end sur quatre. Pour autant que nous ne sommes pas punis et c’est aussi valable pour les deux sexes. Tous, nous prenons ça pour des vacances, des instants de liberté et nous appréhendons déjà d’y retourner, dans cette prison. Surtout, il est inutile de parler des châtiments à nos parents, cela les fait rire. Dans le pire des cas, ils vous flanquent une roustée. Surtout mon père, un pervers dans son genre. Du reste, il me fait penser à sœur Sainte Claire. C’est une vieille de presque soixante ans qui porte une fine moustache. C’est aussi l’une des plus perverses de tout le pensionnat.
Bref, pendant près de neuf ans, j’ai vécu l’enfer, que je fasse bien, très bien ou mal. Même si je frisais l’excellence, faisais mieux que les filles, même ça, ça aurait été mal interprété et puni juste pour le bon plaisir des nonnes. Oui, car ces religieuses trouvent le moyen de se donner du plaisir en passant une main sous leur tunique savamment étudiée quand elles nous punissaient. Si je me souviens bien, il en ...
... était une qui parvenait à jouir en nous flagellant. Du reste, une nonne trentenaire, sœur Clothilde n’enseigne plus depuis l’année de mes dix ans. Elle n’est même plus dans l’enceinte du pensionnat. Faut dire que comme sadique, elle détenait la médaille d’or, de platine même et avec palme. Mais sadique dans le détail, l’augmentation progressive de la douleur. Il faut bien le reconnaitre, c’est une artiste dans sa matière, les sévices. En des temps reculés, je l’aurais bien vue mener des interrogatoires musclés sur des résistants, vêtue d’un uniforme noir à tête de mort. Vous voyez l’époque ? Parce que moi, parfaitement.
C’est vers l’adolescence que cela change pour moi. Le petit gras double s’allonge, s’affine et commence à plaire aux filles. Peu à peu, je deviens homme. J’ai même quelques poils qui commencent à se courir après sur mon menton, sous mon nez et autour de mon chibre. Dans ma chambre, seul, pensant aux filles qui deviennent toujours plus femmes, il arrive fréquemment que je me branle en cachette, l’oreille toujours à l’affût du moindre bruit de pas. Et donc, CQFD, la masturbation ne peut, en aucun cas, rendre sourd. Il vaut mieux ne pas se faire prendre sous peine de faire quelques jours dans cet horrible cachot nu et enchainé. Sans oublier le fouet dans la cour du pensionnat. Oui, en ces murs, le sadisme des nonnes y est poussé à son extrême et on nous rabâche que c’est pour notre bien, pour que nous restions dans le "droit chemin".
Ah oui, nous ne sommes ...