Le gamin au pensionnat
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Inceste / Tabou
Auteur: charime, Source: xHamster
... tube qui contient cet onguent qui calme, apaise les douleurs les plus vives durant bien des heures. Je presse le tube au-dessus du sillon de Martine. Celle-ci gémit quand la fraicheur tombe sur sa chair meurtrie. Je me risque à quelques petits baiser que je dépose ici ou là sur ses fesses, ses reins. Elle n’ose se retourner, ni même protester. Je commence à étaler délicatement cette pommade de son pubis à son anus et même sur ses fesses. Je profite largement de ce moment si invraisemblable. Si je répète à Martine que ce n’est pas la première fois que je le fais. Putain l’ignominieux mensonge ! Je profite de sa position pour entreprendre une fouille douce mais en règle de ce cul. Parfois, j’embrasse tendrement ce cul si sublime, y risque un léger coup de langue. Mes doigts plongent délicatement dans ce sillon endoloris. Je sais maintenant comment m’y prendre pour entendre gémir doucement une femme. Mes doigts se glissent même dans son intimité, dans l’inconnue pour l’adolescent que je suis encore. Je n’hésite plus à baiser ce cul de ma bouche, branler en douceur cette fille de mes doigts. Je vois ce corps qui commence à onduler. Il aime mes attouchements, mes baisers, mes coups de langue sur son sillon. Les gémissements de ma camarade ne sont que des encouragements quand :
- Continue Christian, tu me fais un bien fou. Continue, je t’en supplie.
Oh ça, pour ce qui est de continué, je continue et de plus belle. Je me mets à la branler franchement. Sur mes doigts que je ...
... lèche, je découvre le gout de sa liqueur d’amour et ça m’excite que davantage. Ma langue, en écartant davantage ces jolies fesses, vient plonger à son tour dans ce puit d’amour. Martine se cramponne à la table, quand la nonne perverse entre, ferme la porte à double tour, me pose une main sur mon épaule, l’autre sur les reins de Martine. Je n’ose plus bouger, plus lécher, plus caresser. Je suis complètement paralysé. Sa bouche se pose sur la mienne, je fonds quand je sens sa langue me fouiller ma bouche. Il s’en est fallu de peu que je n’éjacule dans mon slip et mon pantalon.
- Je ne te savais pas aussi doux, mon fils. Je me suis bien trompée sur ton compte en te voyant faire. C’est très bien, continue mon fils. Ça va ma petite Martine ?
- Beaucoup mieux depuis que Christian m’étale la pommade et me fait du bien, ma sœur.
- Bien, très bien ! Continue mon garçon, continue comme tu le fais car tu le fais très bien.
Estomaqué, je me remets vite à lécher, branler, embrasser ce cul, ce sexe, comme exciter par cette nonne et son nouveau visage amoral. La religieuse perverse prend même une chaise qu’elle pose près de ce cul, s’assoit et me regarde faire en massant mon dos, ma nuque et se branlant ouvertement de l’autre. Quand sa bouche se pose sur ma joue, je crois encore exploser mon futal, mon slip. Même que mon pantalon est depuis plus d’une heure sur le point de se déchirer tellement je bande. Sa main appuie sur ma tête pendant que je lèche ce sillon délicieux, elle me ...