1. Le gamin au pensionnat


    Datte: 30/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Masturbation Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    Chapitre 1 : Premières découvertes.
    
    Fils d’une famille catholique pratiquante, à l’âge de 6 ans, mes parents, une mère jeune, 22 ans, un père de 43 ans, diacre qui plus est, m’envoient en pension dans une institution très catholique. Le hic pour moi, c’est qu’en plus d’être le plus jeune, je suis très petit pour mon âge, gras genre gras double aggravé par une timidité maladive dès qu’il y a du monde devant moi. Dès le second jour, je découvre que les nonnes qui y officient, pratiquent les châtiments corporels avec un sadisme presque exacerbé. Elles n’hésitent jamais à humilier, punir savamment les élèves. La panoplie des sévices est aussi large et douloureuse que leur sadisme et les plaisirs qu’elles en éprouvent.
    
    Côté élèves, pour la plupart, ce sont des filles de bonnes familles catholiques, disons qu’elles représentent plus du 80%. Moi, le petit gros, le gras double, le timide, je fais partie des moins de 20% de la toute première volée de garçons trié sur le volet et avec les mêmes conditions d’admissions, en étant un bon catholique. Pour cette dernière condition, je fais confiance à mes parents. En effet, depuis sa création, en 1872, le pensionnat n’était réservé que pour de pieuses femmes en devenir. Elles y arrivent, pour la plupart, à l’âge de 6 ans, tiens, comme moi, pour n’en sortir qu’à 18 ans, encore comme moi. Mais les temps changent, les finances ne sont plus ce qu’elles étaient, l’effectif a diminué, d’où nous, la première volée de garçons. En effet, ...
    ... s’il y avait eu jusqu’à 120 jeunes demoiselles, avec le temps, le nombre s’était réduit à peine plus de 90 jeunes demoiselles de toutes conditions sociales. Oh, cela n’enchante pas ces nonnes, à qui on a forcé la main, de nous voir débarquer, nous le sexe opposé. Aussi, étant le plus jeune, je me retrouve tout seul, moi, le gros, le nain de jardin, le timide, dans une classe, au milieu de vingt-deux filles. En gros, je suis le 0,5% de la classe en termes de nombre. Pour être humilié, je l’ai été dès l’instant où je me suis retrouvé en classe, assis à un petit bureau juste devant le pupitre, toutes les rangées de filles largement derrière moi, à un peu plus d’un bon mètre. Ce qui signifie que si je me retourne, c’est une peine douloureuse faite d’une lourde et cruelle flagellation cul nu devant la classe ou toute l’école, c’est dire. Parfois, la nonne agrémente sa punition de petites pinces diaboliquement mordantes. Oui, juste là, sur les tétons. Ce genre de sévices se pratique indifféremment sur les filles comme sur les garçons, ben oui. Je crois même que ce sont les seuls rares moments où les nonnes nous traitent à égalité. De véritables sadiques que je vous dis, même Sade nous apparait comme un doux enfant de cœur.
    
    Si nous, les garçons, nous dormons dans une aile dûment séparée, nous profitons de chambre individuelle ou à deux lits maximums, ce qui est nettement mieux que pour les filles astreintes à des dortoirs sous étroite surveillance. Oh, nous sommes tout aussi ...
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