Le gamin au pensionnat
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Inceste / Tabou
Auteur: charime, Source: xHamster
... comme un taureau en voyant cette culotte, ce cul juvénile me faire pratiquement face. Pour ne pas être puni à mon tour, mes mains restent sagement sur mon bureau, comme celles de toutes mes camarades, c’est la règle. La nonne me sourit, un sourire qui en dit long sur ses intentions immorales. Armant son bras, elle ne vise pas les fesses de Martine, ce serait bien trop gentil, presque un cadeau. Non, ce qu’elle vise, c’est bel et bien l’entrecuisse, autrement dit, le sexe, l’anus et elle va frapper cruellement, la garce. Le coup s’abat violement, Martine hurle, pleure, tremble de partout et on la comprend. La nonne, vicieuse jusqu’au bout des ongles, laisse la douleur s’estomper avant de frapper à nouveau et plus fort encore, toujours en me fixant. Vingt coups, c’est ce que reçoit Martine. La pauvre est à bout de force, en pleure. Elle n’a même pas la force nécessaire pour rabattre sa robe sur son si joli cul. Et moi, je bande et encore plus douloureusement et ça, la nonne le voit bien. Quand nos regards se croisent, je m’attends déjà au pire. Me retrouver près de Martine et subir le même destin, dans la même position.
Je suis presque sonné quand sœur Marie-Madeleine de Jérusalem m’ordonne de venir près d’elle, devant l’entrecuisse zébré, enfle et toujours relevé de Martine. Si je n’ose le regarder, ce n’est pourtant pas l’envie qui me manque. Le courage, oui, lui me manque. Mais le faire, c’est m’exposer au même sort. Et je sais que cela fait mal, très mal même. Oui, j’ai ...
... déjà subi ce sévices particulièrement cruel. En me levant, j’ai juste le temps de glisser la petite culotte de Martine dans ma poche, ni vu, ni connue. Si elle foutue, cela me fera une sorte de trophée. Et là :
- Mon fils, tu me l’emmène à l’infirmerie et tu la soignes ! Le ton est autoritaire et sans appel.
Je n’ai fait qu’un mouvement approbateur de la tête. Surtout, ne pas parler. Ce faisant, j’ai pu brièvement voir ce cul magnifique, mon tout premier cul et nu en plus. La nonne m’empêche de me mettre à côté de Martine. Je dois donc la relever depuis derrière. Ses fesses nues s’appuient sur mes cuisses. Aussi délicatement que progressivement, je la relève, la prends dans mes bras sans oser mettre ce postérieur dans mes mains. Une fois dans le couloir, je la pose sur ses pieds. Sa robe est toujours coincée dans la petite ceinture. Ainsi, nous cheminons jusqu’à l’infirmerie.
Là, avec mon aide, Martine s’étend à plat ventre sur la table. Idée malsaine ou pas, je glisse un gros coussin sous son ventre. Je recule un peu, admirant ce cadeau des dieux. Son sillon ouvert me laisse voir le saint des saints, le Saint graal que tout garçon de mon âge voudrait ne serait-ce que voir. Et moi, je vais même le toucher, le caresser et je compte bien en profiter. Bordel, je suis dans tous mes états !
- Je suis désolé que cela tombe sur moi. Mais je sais comment faire. Sinon, ça va ?
- J’ai mal. Fais vite, je t’en supplie
Ben voyons, comme si j’avais l’habitude. J’avise le ...