1. Le gamin au pensionnat


    Datte: 30/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Masturbation Inceste / Tabou Auteur: charime, Source: xHamster

    ... que rarement réunis, filles et garçons, il y a qu’en classe et les balades en dehors de l’école. Même pour manger, dans le réfectoire, nous sommes d’un côté, les filles de l’autre et toujours les nonnes au milieu. Pour homme, il n’y a que le professeur de gymnastique, un diacre. Et il ne donne ses leçons qu’au garçons. Parfois, on aime à dire qu’il penche du côté de la jaquette tellement il nous apparait maniéré. Cela dit, jamais il ne m’a fait d’attouchement ou de proposition et heureusement.
    
    À presque 16 ans, ma vie prend un nouvel essor, un vendredi après-midi, par une magnifique journée d’automne, un mois et demi après la rentrée. Maintenant un bel ado, grand, bien fait de ma personne, je n’avais qu’un but, voir ce qu’il y a sous les jupes et robes des filles. Le danger, c’est qu’il ne faut jamais se faire prendre. La punition serait alors cinglante autant pour moi que pour la fille. Mais une religieuse va m’offrir une occasion en or, une occasion si magnifique, du genre qu’il n’y en a qu’une comme ça dans une vie.
    
    Donc, Martine, la fille d’un ponte de l’industrie du pays, nous pique une crise, une violente. Enfant bien trop gâtée, elle n’est là que depuis deux ans. Je ne sais plus au juste la raison de sa crise. Quoique si, en y repensant, si, elle venait d’être privée de sortie pour une raison obscure. Mais on s’en moque, c’est secondaire et là n’est pas le propos. Bref, Sœur Marie-Madeleine de Jérusalem l’a attrapée par sa longue queue de cheval, l’entortille ...
    ... dans sa main. Menée de force sur l’estrade, près du tableau noir, d’un pied derrière un genou de Martine, elle l’agenouille de force. D’une main ferme, elle la penche en avant jusqu’à ce que son visage repose sur le sol, le regard face à la classe, le postérieur obligatoirement relevé. Cette nonne est une sadique, presque autant que l’était sœur Clothilde ou sœur Sainte Claire. C’est même la pire vicieuse que je connaisse à ce moment précis de mon existence. D’un pied posé sur la nuque de Martine, elle triomphe tel un chasseur et sa proie posant pour la postérité. Martine est là, humiliée, le cul bien relevé, genou serré, la tête posée sur le sol, le pied de la nonne posé sur sa nuque. D’une main, Sœur Marie-Madeleine att**** l’objet qui nous terrifie tous, le martinet et ses dix lanières. À l’extrémité des lanières, il y a des nœuds et ça, ça fait un mal de chien sur nos culs sur le dos. Pendant qu’elle relève ses manches, la nonne ne cesse de me fixer. Il faut dire qu’elle a installé Martine de telle façon que son cul est dans ma direction afin que je ne loupe rien de la suite à venir.
    
    Je vous rappelle que ma place est devant le bureau de la nonne, à peine à un mètre. Les filles sont à plus d’un mètre derrière moi et il leur est impossible de voir la croupe de martine. Humiliation suprême, la nonne relève la robe de Martine, coupe sa culotte d’un coup de ciseau qu’elle jette dans la poubelle. Manque de pot, elle tombe sur mon bureau. Je suis dans tous mes états, je bande ...
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