1. Solenn, Philippe, les cerfs-volants et la tarte aux pommes


    Datte: 30/11/2018, Catégories: fh, fhhh, couple, couplus, inconnu, vacances, plage, douche, revede, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, exercice, portrait, occasion, extraconj, Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe

    ... sur moi, de tout son poids, complètement vidés, détendus. Le repos, un bienfait après une telle tempête charnelle. Plus aucune tension. J’en avais tellement envie, besoin même et j’ai été exaucée. Des regrets ? Certainement pas ! De la culpabilité ? Encore moins !
    
    Est-ce que Daniel méritait que je le trompe ? Aucune importance ! Je me sens belle. Mieux que ça : je suis belle !
    
    —oooOooo—
    
    Nous somnolons un peu, puis nos corps se refroidissent. Je frissonne.
    
    — Viens, nous allons prendre une douche, le bloc sanitaire est sur le palier.
    — Mais, on va nous voir !
    — Tu penses bien qu’en plein après-midi, ils sont tous au festival des cerfs-volants. Allez, enfile mon peignoir.
    
    Il me le tend et s’entoure la taille d’un drap de bain. Nous ramassons nos vêtements. Son nécessaire de toilette sous le bras, nous traversons les quelques mètres pour arriver jusqu’aux douches.
    
    — On prend celle du fond, pour être plus tranquille ?
    — Bonne idée.
    
    Nous accrochons nos vêtements dans l’espace habillage, puis il fait couler l’eau. Lorsqu’elle est à bonne température, nous entrons sous la douche. Il savonne ses mains et me lave entièrement. Que c’est agréable. Je colle mon dos sur le carrelage et je me laisse faire.
    
    — Écarte les jambes, j’ai envie de te caresser.
    
    Je laisse le passage libre et avant de mettre un doigt dans mon ventre, il s’agenouille dans l’espace étroit, ses genoux entre mes jambes, s’assoit sur les talons et regarde l’eau couler sur mes lèvres ...
    ... intimes.
    
    — Que tu es belle !
    
    J’ai envie de le croire. Et puis non, je le crois. Pas besoin de me trifouiller les méninges. Je lâche prise, j’oublie tout le reste, je ne garde que nous deux. Je m’abandonne.
    
    Je reçois sa langue. Bieennnnn… experte !
    
    — Ohhh, continue !
    
    Je plaque sa tête contre mon sexe pour qu’il l’enfonce encore plus. L’eau nous inonde. À présent son doigt, non, bien vite il y en a deux qui fouillent ma chatte. Ma fente savamment explorée s’ouvre et s’enflamme à faire se dessécher un océan tout entier. Là, j’exagère. Oui, c’est vrai, mais j’ai si chaud et c’est pas seulement l’eau sur nos corps. Je prends tous les plaisirs, ma tête est pleine. Non, je l’ai cru, mais il y a encore de la place pour d’autres félicités. Oui, c’est ça, debout, c’est bien, tu me soulèves, maintenant dans tes bras, tu cramponnes mes fesses, je m’agrippe à tes hanches. Tu me présentes ta queue tendue et je sens sa raideur juste à mon entrée. Tu n’as pas eu le temps, n’est-ce pas ? Pas eu le temps de dire« ouf », ou alors« je vais te prendre », ou bien« ce coup de rein c’est pour remplir ta bonbonnière ». Eh bien non, tu n’as pas eu le temps, car c’est moi qui suis allée m’empaler sur ton attribut, comme ça d’un coup. J’avais envie, vorace et passionnée.
    
    Nous faisons l’amour sous la douche, et même lorsque nous entendons la porte de la salle des douches s’ouvrir et les bruits de pas à quelques mètres, nous continuons. Grand bien lui fasse, à cet inconnu, de se doucher à côté de ...
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