1. Solenn, Philippe, les cerfs-volants et la tarte aux pommes


    Datte: 30/11/2018, Catégories: fh, fhhh, couple, couplus, inconnu, vacances, plage, douche, revede, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, exercice, portrait, occasion, extraconj, Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe

    ... petit puits sera béant et que tu me supplieras, j’agrandirai ton trou un peu plus en te pilonnant comme un diable. Si tu veux avoir le cul en feu, tu seras servie !
    
    Je relève ma croupe encore plus en m’appuyant sur mes avant-bras et en creusant mes reins jusqu’à l’extrême. Il se penche et passe sa langue sur mon anus, le titille, force l’entrée avec sa langue. Il crache sur le haut de mes fesses et lorsque la coulée de salive arrive au bord de mon ouverture, il l’emporte en m’empalant d’un doigt.
    
    — Va jusqu’à trois…
    — Wououuu… gourmande ?
    — Chaude, très chaude !
    
    Il travaille mon derrière et un à un ses doigts s’enfoncent dans mon cratère. Mes muscles se relâchent et je m’ouvre en grand. Ma rosace est si souple et béante qu’il enlève ses doigts et d’un coup de rein, il me queute vaillamment.
    
    — Ahhhhhh, ouiiiii… Plus fort !
    
    Pas besoin de lui dire que j’adore la sodomie. Vraiment pas besoin ! Il s’en rend compte et à chaque fois qu’il s’enfonce au plus profond, je me balance en arrière pour accentuer la pénétration. Avec mes mains agrippées au couvre-lit, je décuple ma force en vrai sauvageonne.
    
    — Oh oui ! Vas-y, volcanique Solenn !
    
    Et je m’active un peu plus pour accompagner son pilonnage. Il chauffe mes entrailles jusqu’à déclencher des spasmes enivrants, plus et encore plus. Je suis au bord de l’orgasme, mon excitation frise l’extrême. Je l’entends haletant et je gémis de plus belle.
    
    — Vas-y ma belle, prends ton pied, affole ton cul sur mon dard. Une ...
    ... belle piqûre pour guérir ton corps, c’est bon… hein ?
    — Encooore, mon bel étalon !
    — Un braquemart pareil, juste pour toi ! Tu ne vas plus pouvoir croire tous les crétins qui te diront que tu n’es pas bandante. Tu es magnifique, pulpeuse, vibrante sous ma queue. Tu es torride et j’aime ça ! Quel régal que de prendre ton beau petit cul ! Un vrai buvard de sperme et je vais t’en cracher plus que tu ne pourras en éponger !
    — Ça monte, ça monte. Continue !
    
    Je suffoque de plaisir intense. Je contracte mon faubourg jusqu’à empêcher la circulation du sang de son étendard, mais Philippe redouble d’énergie et bouge en force. Il continue en mots saccadés :
    
    — Belle diablesse, mon jus est prêt, je ne peux plus me retenir ! Mon coup de fusil, tu veux qu’il éclate en toi ou que je vise tes fesses et les mitraille de mes jets ?
    
    Je hurle de toutes mes tripes et, de l’aigu, ma voix se transforme en râle long et grave. Il se retient de jouir. Mon corps n’est que réjouissance et j’ondule ma croupe pour prolonger mon orgasme. Je veux qu’il m’inonde et je le supplie :
    
    — Éclate sur moi !
    
    Mes vagues de plaisir reprennent de plus belle sous la violence de ses derniers assauts jusqu’à ce qu’il se retire vivement. La seconde suivante, sa lance, calée sur mes fesses dans des allers-retours glissants, crache en pulsions régulières les jets poisseux et chauds. Il beugle longuement jusqu’aux derniers soubresauts qui libèrent encore quelques gouttes.
    
    Nous nous affalons sur le lit, lui ...
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