1. Jeudi libre


    Datte: 30/11/2018, Catégories: fh, fplusag, vengeance, chantage, Oral pénétratio, fsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... assister à son échec et partager en esprit la revanche du genre féminin sur la vantardise des hommes. Mais à mesure que le temps passe, il me semble que la femme n’est pas insensible et roucoule devant le mâle. Ils se lèvent et partent ensemble.
    
    Où vont-ils ? Il n’y a pas d’hôtel dans le coin. Le plus près est à cinq minutes en voiture. Mais comme ils se dirigent vers le parking souterrain, j’imagine que l’homme va l’emmener.
    
    Comment une femme peut-elle suivre un inconnu ? N’est-elle pas inquiète de ce qui se raconte partout. Les malades, les meurtriers. Les informations sont remplies de ces faits divers terribles.
    
    Je les suis. Il l’entraîne au plus profond des sous-sols, dans une zone seulement utilisée lors des fêtes de fin d’année, époque où les voitures sont si nombreuses que chaque place est une victoire.
    
    Stop. Je dois me cacher derrière un poteau. Le couple s’est arrêté. Ils s’embrassent. Un long moment et ils repartent. Je me fais l’effet d’une espionne. Heureusement, je suis habillée de noir. Seul mon chemisier pourrait faire une tache claire mais en boutonnant ma veste, je deviens une ombre, tels ces assassins exotiques vêtus de noir de la tête aux pieds.
    
    Le mur du fond est à portée. Une voiture y est garée. Ainsi, c’est ici qu’il l’entraîne. S’il avait voulu la conduire à l’hôtel ce n’était pas la peine d’aller stationner si loin, au risque d’être contre-productif et laisser à sa proie le temps de se ressaisir. Ils passent entre mur et voiture. Je ne ...
    ... les aperçois plus que par le haut du corps qui dépasse du toit. En me faufilant, j’arrive à mieux les apercevoir, mais le temps que je me glisse à pas de loup, passant de poteau en poteau, lorsque je les retrouve, la fille est déjà en train de lui faire une fellation.
    
    Il fait trop sombre pour vraiment voir les détails mais il n’y a pas d’ambiguïté. Elle le suce. Lui pousse son ventre en avant cherchant sans doute à pousser son sexe entre les lèvres. Le bruit permanent des véhicules qui passent plus loin m’empêche de les entendre.
    
    Cela dure un moment et puis elle se relève et alors qu’elle s’appuie sur le capot du moteur, c’est à lui d’aller découvrir l’intimité de sa conquête après avoir enlevé le pantalon et la culotte. Sa tête disparaît entre les cuisses relevées et la femme le guide avec ses mains. Là encore cela dure et puis, en se relevant il recouvre son sexe que je vois un instant, tache plus blanche sur la noirceur du fond, d’une capote.
    
    La suite est évidente. D’un coup de rein, il entre dans la femme. Elle entoure les reins de son amant d’un instant avec ses jambes et se laisse posséder sur la tôle encore tiède. L’assaut est régulier et puissant. J’ai l’impression d’une éternité, alors que pour eux l’instant est sûrement trop court. Ils bougent. L’homme a peut-être craché sa semence. Mais non, c’est pour que la femme lui tourne le dos tout en prenant appui sur la voiture. Le coup de rein me semble plus impatient. Il s’accroche aux hanches féminines pour ne ...
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