La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.
Datte: 29/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... gens habillés que les autres. Regardez, il n’y a quasiment personne.
Et ce couple là bas ?
Ils sont nus eux aussi ! Allez ! Faites-moi plaisir ! Vous verrez comme c’est agréable. Et puis, j’ai envie de vous voir nue en pleine lumière, ma chérie !
Comme le premier jour quand on a pissé après avoir fait l’amour dans la voiture !»
Geneviève hésite encore. Elle s’assoit, regarde tout autour d’elle, voyant que personne ne la regarde elle enlève les bretelles. Attend un petit peu, puis baisse le haut du maillot.
« J’adore votre poitrine ! Je vois aussi que la situation vous plaît, vos tétons sont tout dardés !
Arrêtez ! J’ai honte !
N’ayez pas honte vous êtes superbe !
Je suis trop grosse…Et vieille !
Vous croyez que je vous trouve grosse ? Je vous ai prouvé qu’il n’en était rien ! Au contraire ! Vos rondeurs m’affolent ! Allez, un petit effort. Je suis là, vous ne risquez rien. »
Toujours assise, elle se dandine pour retirer enfin son dernier rempart et le glisser dans son sac.
« Alors ? N’est-ce pas plus agréable ?
Oui, c’est vrai, mais Ça fait drôle !
Vous sentez l’air passer sur votre chatte ?
Oui ! Oh mon dieu !
Maintenant il faut vous mettre de la crème solaire, votre peau est blanche surtout vos seins et vos fesses, je ne voudrais pas qu’ils prennent mal.
Attendez, je vais vous la passer »
Geneviève se couche sur le ventre. Trop contente de cacher sa poitrine et son bas ventre. Je commence à la badigeonner. Les épaules et ...
... les bras tout d’abord, puis je descends sur le bas du dos. J’atteins les fesses insistant un moment. Les jambes ensuite, avant de revenir sur la fourche de ses cuisses. Mes mains se font plus caressantes. Je la force à écarter les jambes et ma main parvient enfin sur sa chatte que je caresse, insinuant les doigts entre ses lèvres déjà bien humides.
Jusque là, Geneviève s’est laissé faire, mais elle se rend compte que mon massage n’est plus innocent. Elle resserre les jambes, consciente du changement qui s’opère en elle.
« Arrêtez, voyons !
Ça ne vous plait pas ? J’ai l’impression du contraire.
Vous êtes une diablesse ! Je… Je coule !
Je le sens bien, moi aussi je suis excitée. On va rester comme Ça. C’est tellement agréable ! »
Je me tartine à mon tour et m’allonge à ses côtés, main dans la main. Nous sommes heureuses.
Après un petit quart d’heure, il faut être prudent avec le soleil. Je propose de nous retourner. A nouveau, Geneviève hésite, car maintenant il va falloir exposer son côté face. La convainquant qu’il ne faut pas insister d’un côté au risque de prendre un coup de soleil, surtout pour une première fois, elle consent à se mettre sur le dos. J’entreprends alors le badigeonnage de sa poitrine, en m’attardant bien sûr, sur les tétons arrogants. Geneviève a caché ses yeux sous son bras, faisant l’autruche sur sa position et dévoilant ainsi ses aisselles poilues alors que sa chatte est épilée. Elle m’expliquera plus tard que c’est toi – enfin, elle ...