1. La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... dira son amant – qui l’a obligée à rester comme ça, mais que ne le voyant plus, si je le désire elle s’épilera aussi sous les bras. . Son ventre est ensuite l’objet de tous mes soins, je passe rapidement à ses jambes, que j’enduis bien, jusqu’aux pieds que je masse délicatement. Je me rends compte que cette partie de son anatomie est particulièrement sensible.
    
    Enfin je remonte comme tout à l’heure, sur sa chatte, déjà bien ouverte, preuve de son excitation. Je la caresse là aussi, la pénétrant de deux doigts qui s’imprègnent de cyprine rapidement. Je ne résiste pas au plaisir de les lécher ensuite. Finalement, je remonte contre elle et nous échangeons un baiser voluptueux.
    
    « S’il vous plaît ! On pourrait nous voir !
    
    Mais on nous regarde ma chérie ! Regardez le couple sur notre droite. Le monsieur qui est couché sur le côté vers nous, arbore une belle érection ! Ça doit lui plaire de voir deux gouines !
    
    Nous ne sommes pas…
    
    Des gouines ? Non ! Nous aimons les hommes et aussi les femmes. C’est la différence avec les gouines qui n’aiment que les femmes. Mais c’est aussi le fantasme de tous les hommes, de voir deux femmes faire l’amour. Regardez sa femme. Elle aussi a l’air d’apprécier.
    
    Je n’oserais pas !
    
    Ici, personne ne nous connaît. Vous allez me passer de la crème à votre tour, vous pourrez les regarder discrètement.
    
    Il faut que je me lève pour ça !
    
    Bien sûr ! Ils verront alors votre adorable silhouette de femme mûre, vos tétons bandés, vos gros ...
    ... seins et votre gros cul ! Vous verrez comme c’est agréable de s’exhiber ma chérie ! »
    
    Je me couche alors sur le dos, attendant que Geneviève m’enduise de crème.
    
    Elle attend, mais je lui dis que je ne veux pas cramer sur place et qu’il faut me protéger. Je ne sais si c’est cela qui la décide, mais la voilà à genoux au dessus de moi.
    
    Elle applique bien l’ambre solaire. Elle se prend au jeu petit à petit et ses mains deviennent caressantes au fur et à mesure de son massage. Elle fini même par me caresser le bouton et glisser deux doigts dans ma fente.
    
    Je lui réclame un baiser, à la fin duquel je la fais regarder vers le couple.
    
    L’homme bande toujours autant. Préservant la vue de son sexe aux autres occupants de la plage, mais nous l’offrant à nous. Sa femme nous cligne de l’œil et pose sa main sur le sceptre de son mari en souriant. Montrant qu’elle approuve notre petite exhibition.
    
    Nous passons un moment étendues sur le dos, repassons sur le ventre après une nouvelle application, puis je décide d’aller dans l’eau nous rafraîchir.
    
    Geneviève tente de reprendre son maillot, mais je l’en empêche.
    
    « Vous allez voir comme c’est agréable de se baigner nue !
    
    Mais… les gens vont nous voir !
    
    Je vous rappelle ma chérie, qu’ils sont nus eux aussi. Que ici, tout le monde se fiche que vous soyez jeune, vieux, beau ou laid, gros ou maigre, qu’ils sont exhibitionnistes ou voyeurs ou les deux à la fois et que seul le plaisir du corps importe. Enfin, que je vous trouve ...
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