1. La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... !
    
    Oui ! C’est pour ça que l’on va monter à l’étage ! Mais je veux te voir à poil dans cette pièce. Tu monteras ensuite devant moi. J’aurais ainsi le beau spectacle de ton gros cul qui monte l'escalier et un souvenir de toi à poil ici dedans ! »
    
    Je vais tirer les rideaux et fermer les portes à clé. Quand j’ai terminé, Geneviève est debout, nue au milieu de la pièce. Quand je dis nue, c’est sans compter les bas et le porte-jarretelles couleur chair qu’elle arbore.
    
    Je tourne autour d’elle, la frôlant sans la toucher. Sa peau se hérisse, mais elle ne bouge pas, raide comme une statue. Je me délecte de la vision de ma belle-mère, pour la première et donc la dernière fois nue dans mon appartement.
    
    J’attrape la robe au passage et lance :
    
    - « Tu es magnifique ! Je vois que tu t’es préparée et habillée comme une pute pour moi ! Je garderai le souvenir de ma salope de belle-mère nue au milieu de chez moi et quand tu viendras nous voir, tu sauras que j’y pense.
    
    Allez, montons maintenant ! Passe devant que je vois ton gros cul devant moi, comme une pute devant son client ! Et vas-y lentement je veux en profiter le plus longtemps possible ! »
    
    L’ascension se fait lentement. A quelques centimètres de mon visage, les grosses fesses de Geneviève, se balancent. Elle doit se tenir à la rampe. Ses jambes ont du mal à la tenir. Elle est consciente du spectacle qu’elle m’offre.
    
    - « Tu sens la femelle, salope ! Je vois ton jus qui coule déjà sur tes grosses cuisses ! Je ...
    ... vais te baiser ici, dans l’escalier ! Arrête et penche-toi ! A genoux !»
    
    Docile, ma presque belle-mère, prend position. Rapidement, je me débarrasse de mon short et l’enfile brutalement. Comme prévu, sa chatte ruisselle et son soupir n’est que de plaisir. Je crois même qu’elle a un premier orgasme à ce moment. Debout dans l’escalier, je la lime profondément. Pour, le plaisir je fais trois ou quatre allers et retours, avant de sortir. Je lui faire monter une marche, je recommence et ainsi de suite presque à chaque marche.
    
    Arrivés en haut, Geneviève n’en peut plus, car cette méthode l’empêche de jouir. Elle est à cran. Aussi, quand elle reste à genoux sur le palier, je lui mets d’abord des claques sur ses grosses fesses avant de la prendre en levrette. Elle se lâche alors et jouit comme une folle en bramant.
    
    C’est en arrivant dans la chambre, que je me rends compte que la fenêtre est restée ouverte. J’espère simplement que les voisins n’étaient pas à l’écoute.
    
    Connaissant les facultés de Geneviève d’inonder la literie j’enlève tous les draps et pose une alèse. Je la fais étendre les jambes au bord du lit et entreprends de lécher sa chatte gluante. Je me régale de son jus abondant et Geneviève se pâme plusieurs fois. C’est alors que la sonnette de la porte retentit. Ma belle-mère se fige. Je lui dis de ne pas bouger, j’enfile un peignoir et je descends voir l’importun visiteur.
    
    C’est le facteur ou plutôt la factrice qui vient remettre un paquet et a besoin de ma ...
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