La vie dissolue d'une bigote 5 : Une séparation et une maîtresse.
Datte: 29/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... vos doigts dans le con ! »
Vous êtes un amour ! Oui j’ai très envie de vous… manger comme tout à l’heure. J’ai adoré ça ! Vous êtes habillée ?
Je dors toujours nue, ma chérie et vous-même ?
J’ai… un déshabillé
Enlevez-le, je vous veux toute nue pour moi !
Oh oui : Tout de suite !
On va se caresser ensemble. Vous avez des jouets ?
Mon… amant m’en a donné.
Coquine ! Alors prenez un gode, moi aussi j’en ai un. On va se branler toutes les deux et je veux vous entendre crier ! »
Ce sont des soupirs qui parlent pour nous. Rapidement, ceux de Geneviève s’amplifient et elle râle bientôt son plaisir qui engendre le mien. Après un long échange de bisous virtuels, nous raccrochons et je m’endors sereine, comme elle, surement.
« Sacré belle-maman, dis-je. Elle si prude en société, elle se déchaine comme une collégienne !
Je peux te dire qu’elle n’hésite pas à me suivre dans tous mes délires. Elle ne prend jamais d’initiative, mais quand je propose, elle ne dit pas non longtemps, il faut que je te raconte. »
Je l’ai décidée à faire une virée toutes les deux à la plage. Je ne sais pas comment elle s’est débrouillée, mais trois jours plus tard, nous partions de bon matin sur la côte landaise. La seule condition pour elle était ne de pas aller dans un endroit connu où elle risquait de faire des rencontres. Je l’assurais d’un coin tranquille. Nous avions prévu un en cas pour pique-niquer – Ne rigole pas sur ce jeu de mot éculé – A son habitude, elle ...
... s’équipait avec chaise de plage et parasol, serviette, bref tout l’attirail de la mère de famille à la plage. Elle s’est étonnée de me voir sortir du coffre, une simple serviette, une natte et un sac de plage. C’était elle il est vrai, qui s’était occupée du repas.
Au bout d’un petit chemin, je stationne sous les arbres, où quelques voitures sont garées. Premier étonnement pour elle qui ne connaît que les plages « organisées » Au sommet de la dune où se trouve un blockhaus, je prends à droite sans que Geneviève ne dise quoi que ce soit. Elle n’a pas dû remarquer le panneau « plage naturiste non surveillée» Il faut dire que chargée comme elle est, la montée a été rude. Je lui prends le parasol pour la soulager et en profite pour déposer un baiser sur ses lèvres.
En avançant sur le sable, elle s’étonne tout de même du peu de monde présent.
Après une petite centaine de mètres je m’arrête, pas trop loin de l’eau, car j’aime y faire quelques aller et retour fréquents.
J’étale ma serviette et je quitte ma robe sous laquelle je n’ai qu’un string que je retire pour me retrouver nue. Geneviève s’étonne alors.
« Mais… Que faites-vous ?
Ben, on est sur une plage naturiste alors je me mets nue.
Vous m’avez piégée ! Vous ne pensez tout de même pas que je vais faire pareil ?
Pourquoi pas ! Je vous ai déjà vue, non ?
Vous, oui ! Mais… Il y a du monde ! Je ne ferai jamais cela voyons !
Vous devriez ! D’abord, c’est vachement agréable et en plus ici on remarque plus les ...