Une asiat en club libertin (4)
Datte: 28/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: kalistao, Source: Xstory
... hommes/femmes nettement en défaveur des femmes. Je ne voyais que cinq femmes pour une trentaine d’hommes. Je ne passais évidemment pas inaperçue avec ma minijupe et mon soutif. Serge me demanda de le sucer sur-le-champ. Devant le regard exigeant d’Hector je m’exécutais. Serge avait une bite honorable, je prenais toujours plaisir à le sucer car il me remplissait bien la bouche. Devant du monde, c’était une première. Serge exigeait avec son bras que je le pompe énergiquement et profondément. Lui, ce soir ne cherchait pas le romantisme. Ma bouche montait et descendait à une grosse cadence. Serge se leva et choisit de venir sur mon visage. La situation devait lui avoir beaucoup plu, de longs jets bien épais jaillirent sur mon visage. Je devais être repeinte. Mais ce n’était qu’un avant-goût...
Hector me mit un collier et une laisse et me fit avancer à quatre pattes sous de nombreux regards. Je mouillais comme jamais malgré la honte qui m’assaillait. Se pouvait-il qu’Hector ait raison. Il me fit avancer à l’entrée du couloir qui quittait la salle principale, et qui était séparé de celle-ci par un rideau. Couloir où il me demanda de rester et de n’en point bouger, et de sucer la queue de ceux qui le souhaitaient. Dans un endroit pareil, ça veut dire tout le monde.
Quelques couples passèrent devant moi peu de temps après, rejoignaient les coins câlins. J’étais certaine pour ma part d’être le coin sac à foutre à moi toute seule. Plusieurs hommes seuls passaient également, ...
... s’arrêtaient, en profitaient pour passer leurs mains sur mon anatomie, puis repartaient. L’un d’eux m’intima de me lever, me retourna contre le mur et me prit violemment la chatte, je ne pus retenir des gémissements qui montaient en moi. Serge et les autres dans le bar ne pouvaient ignorer que je me faisais copieusement prendre. Le plaisir monta rapidement en lui, il me mit à genoux et éjacula sur mes seins. Obéissante, j’attendais le prochain.
Certains commençaient également à revenir, et me sollicitaient pour les finir. Ces queues avaient le parfum des chattes qu’elles avaient fouillées. Qui finissait sur mon visage, ou dans ma bouche pour que je les avale. Je ne faisais pas dans la dentelle, j’étais à l’usine. Je ne regardais plus les visages, le mien ne devait plus ressembler à grand-chose. Ma bouche pulpeuse n’était plus qu’un réceptacle.
Alors que j’avais une queue qui palpitait dans ma bouche, une main se posa sous mon menton et me leva la tête. J’étais manifestement en train de sucer Joël, mon cher collègue qui avait toujours rêvé certainement de mettre son engin dans ma bouche. Je sus que ce ne serait pas la dernière fois que je le pompais. Son sourire carnassier exprimait tout le plaisir qu’il prenait. Il donnait de violents coups de reins dans ma bouche et me recouvrit à son tour. Sur ce il me dit à demain.
— Sois fraîche et dispose demain, bonne nuit sac à foutre !!
J’avais déjà un autre Paul dans la bouche quand il me quitta. Ce soir-là je devais ...