1. Une asiat en club libertin (4)


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: kalistao, Source: Xstory

    Le lendemain, lorsque je me levais pour aller bosser, Serge était déjà parti pour son travail. Un mot m’attendait ainsi qu’un bouquet de fleurs sur la table à manger, le petit-déjeuner était prêt. Serge avait simplement écrit : « je t’aime ». Je fus touchée de cette attention.
    
    C’est Serge qui devait avoir les clés des menottes car je n’étais plus attachée. Je me voyais mal me pointer au taf avec une paire de menottes.
    
    M’assoir pour déjeuner dans la pièce où j’avais subi les assauts de la veille me fit une étrange impression. Un mélange de honte et de plaisir. Comment pourrais-je recevoir à nouveau mes parents chez moi ? La sensation de mon cul sur la chaise me rappelait aussi que plusieurs hommes avaient investi mon fondement. Le mot de Serge semblait en tout cas confirmer qu’il appréciait.
    
    J’allais à mon travail et j’évitais la station assise le plus possible. Dans la banque je dirige une petite équipe de cinq personnes, deux femmes et trois hommes. Je sens bien que recevoir des ordres d’une femme contrarie les hommes, mais nous avons des relations amicales. Nous nous voyons parfois en dehors du travail, même si je mets une barrière pour leur signifier que je suis leur chef.
    
    Bref, pendant quelques jours, je soufflais sexuellement parlant, mon cul ayant besoin de repos, et Hector le savait.
    
    Mais le répit ne dura pas.
    
    Un soir que je sortais du travail, un jeudi, Hector m’attendait dans sa voiture. Il m’ouvrit la voiture pour m’intimer de monter. Il ...
    ... m’embrassa sur la bouche, y mit la langue. C’était un moindre mal, sa langue était déjà allée dans des endroits de mon corps encore plus intimes. Il n’y avait plus trop d’intimité avec Hector.
    
    — Bonsoir Patricia, me dit-il. Ce soir nous allons avancer un peu ton éducation. Ne t’inquiète pas, Serge est au courant. Prépare-toi à passer au stade suivant...
    
    Je pensais déjà y être arrivée et il me disait de passer au stade suivant. Je n’avais pas idée de ce qu’il allait me demander cette fois... J’eus peur à nouveau. Que pouvait-il y avoir de plus humiliant que de se faire baiser par des inconnus de la façon dont j’avais été baisée. Hector me félicita pour l’autre soir, j’avais fait l’unanimité... L’unanimité dans quel domaine ? La salopitude ? J’étais descendue au niveau des prostituées dans leurs camions.
    
    Nous roulâmes ainsi assez longtemps sur l’autoroute en direction de l’Espagne, je dirais une centaine de kilomètres. Puis Hector sortit de l’autoroute, la reprit en sens inverse et s’arrêta sur une aire.
    
    Et voici ce qu’il me dit :
    
    « Ce soir, tu vas devoir te débrouiller pour rentrer sans moi à Bordeaux. Mais selon les règles que voici : Tu vas aller te changer dans les toilettes de la station-service et mettre ce que j’ai amené pour toi. Tu seras peu vêtue mais tu auras un long manteau pour te couvrir. Tu laisseras tes vêtements actuels dans les toilettes. Ensuite tu devras solliciter les personnes de ton choix pour te ramener, leur disant que tu n’as pas de voiture pour ...
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