Une asiat en club libertin (4)
Datte: 28/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: kalistao, Source: Xstory
... au-dessus des genoux mais qui me couvrait bien. Je n’avais plus que ma minijupe, mon string et mon soutif... Génial... J’allais devoir la jouer fine avec ce petit con de Joël, la vingtaine qui, avant que je ne le remette en place, passait son temps à me mater le cul au taf...
Je sonnais à son domicile. Pas de réponse, j’étais soulagée et n’insistais pas ; je rappelais Hector, qui, un peu déçu, moi non, me dit de venir en taxi. Alors que j’appelais un taxi dans la rue, une voiture s’arrêta à ma hauteur, c’était Joël...
— Salut Patricia, qu’est-ce que tu fais là ?
J’inventai, je lui dis que je suis tombé en panne et comme son appart n’était pas trop loin je suis venue voir s’il pouvait m’amener à l’endroit où était Serge. Il me répondit de monter. Quand il me demanda où je voulais aller, je lui donnai le nom de la rue, pas le numéro, je lui demanderais de se garer un peu avant.
Je m’installai à l’avant tout en essayant de ne pas trop lui montrer mon visage dans la pénombre. Heureusement il faisait nuit noire. Mais rapidement, je m’aperçus qu’une forte odeur de foutre émanait de moi... j’essayais de l’occuper avec des paroles, ma pseudo panne, je dérivai vite sur le taf... je le remerciai pour ce soir. Je me rendis compte qu’il me regardait furtivement. J’étais sûre que lui aussi sentait cette odeur reconnaissable entre toutes... Je me rendis compte que de là où il était, en tournant la tête, il avait une vue directe sur mon soutif à même la peau. Il savait que ...
... j’étais presque à poil.
Ouf nous arrivâmes, je le fis garer au début de la rue, je le remerciai et le quittai hâtivement et lui dis à demain. En m’éloignant au bout d’un moment je me retournai. Malheur, sa voiture n’avait pas bougé, il me regardait m’éloigner...
Dans la pénombre j’aperçus Hector, qui m’attendait devant la porte discrète de la boîte. Il me mit la main au cul, et semblait apprécier l’aspect de mon visage. Joël ne devait pas en perdre une miette. Soudain sa voiture passa devant nous, il me regarda, le regard troublé, ne comprenant sûrement pas pourquoi un vieux me mettait la main au cul. Il dut aussi repérer l’endroit devant lequel j’étais. J’étais grillée...
— Je te félicite Patricia, les deux hommes que tu as trouvés étaient très satisfaits, ils m’ont remercié pour ton éducation. Ils m’ont demandé à pouvoir te rencontrer à nouveau... Qui t’a ramenée ?
— Joël, mon collègue, il vient de passer devant nous en voiture. J’ai terriblement honte, je suis certaine d’avoir éveillé ses soupçons...
— Ne t’inquiète pas, cette situation va au contraire terriblement t’exciter. Je te connais mieux que tu ne te connais, tu es une soumise dans l’âme, fais-moi confiance. La honte est un sentiment qui t’accompagne en même temps que ton plaisir...
Puis nous entrâmes dans le club. Serge était là, visiblement ravi de me voir, il m’accueillit avec chaleur, me servit un verre.
Mais comme je m’en doutais la soirée n’était pas terminée. Ce soir-là il y avait un ratio ...