1. Une asiat en club libertin (4)


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: kalistao, Source: Xstory

    ... rentrer à Bordeaux. Si quelqu’un te demande comment tu as pu te retrouver sur une aire d’autoroute de la sorte, tu devras lui expliquer la vérité, que tu es une jeune femme soumise, que ton maître vient de te déposer ici pour être copieusement humiliée et éduquée. Tu devras faire ensuite ce qu’il sollicitera de toi en échange de ton retour à Bordeaux. Peu importe comment il te baisera, en revanche tu ne dois pas avaler son sperme, mais le laisser se répandre sur ton visage, ton décolleté, le manteau. Et le plus important, tu ne dois pas t’essuyer, mais le laisser sécher.
    
    Comme tu es gaulée, tu risques d’arriver avant moi. Tu donneras cette lettre à la personne qui te ramènera. Tu n’as pas le droit de l’ouvrir. Une fois à Bordeaux, appelle-moi. »
    
    Sur ce, il me demanda de sortir ; aussitôt il reprit la route en direction de Bordeaux.
    
    Bon, il me semblait que je n’avais plus le choix. Je ne pouvais pas revenir sans m’être fait copieusement humilier, au risque de déplaire à Serge... Ce que je ne voulais pour rien au monde.
    
    En rentrant dans la station-service, je me demandais comment procéder, je ne pouvais pas me taper un père de famille dans les toilettes et me faire ramener ensuite dans la voiture familiale en compagnie de la femme, voire des enfants...
    
    Mes choix se résumaient à trouver un homme, seul de préférence. En passant devant les machines à café, je constatais qu’un jeudi à 20h, il y avait peu de gens sur les autoroutes, à part des ...
    ... camionneurs...
    
    Les habits que je devais passer ne laissaient aucun doute quant à mes intentions... Soutien-gorge et string rouge, haut noir transparent, jupe qui arrivait juste sous les fesses. Se pencher aurait été une erreur fatale. Heureusement je pouvais cacher mon corps sous un long manteau noir qui tombait au-dessus des genoux.
    
    Quelle honte : bonsoir monsieur, je voudrais me faire baiser et me faire inonder la gueule de foutre. Et si vous pouviez me ramener chez moi ce serait cool.
    
    En ressortant des toilettes, plus personne autour des machines à café, à l’extérieur un homme s’éloignait sur le parking certainement vers son véhicule. De loin je le vis passer entre des camions, sûrement un camionneur. Bof pas très inspirée à l’idée de sortir comme ça. Je vis du coin de l’œil le pompiste qui tentait de me déshabiller du regard. Son inquisition me poussa à sortir. Je me dirigeai vers les seuls véhicules stationnés. Que des camions. Une voiture arriva à ma hauteur, mais ce sont deux femmes qui me regardèrent furtivement en passant à vive allure.
    
    Il faisait nuit, j’vais un peu froid et j’étais seule sur un parking d’aire d’autoroute. Je me résolus à passer entre les camions. Seul le bruit de mes talons résonnait, tout le monde semblait bien au chaud au lit. Les remorques vides étaient ouvertes pour éviter les vols.
    
    Soudain j’entendis un « bonsoir, vous cherchez quelque chose ? ». Je me retournai, c’était un homme, la trentaine, plutôt souriant.
    
    — Bonsoir, excusez-moi de vous ...
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