1. Venezia


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, hplusag, complexe, voyage, intermast, facial, Oral amourdura, amourpass, Auteur: Denis Raud, Source: Revebebe

    ... boutons de son chemisier pour les défaire. Je l’arrête :
    
    — Non. Si tu veux bien, je préfère te déshabiller dans un ordre précis. Ce n’est pas une perversion de ma part, c’est pour mieux te désirer.
    — Comme tu voudras. Pourtant, les seins, c’est ce que j’ai de mieux.
    — J’en suis persuadé. C’est pourquoi je garde ça pour plus tard. Retire ton pantalon.
    — Ne sois pas choqué mais je suis entièrement épilée. Aujourd’hui c’est comme ça chez les jeunes.
    — Les vieux comme moi adorent ça.
    — Éteins la lumière, je suis laide.
    — Ah non ! Je ne veux plus entendre ça dans ta bouche. Tu me plais et je veux te voir. Lumière tamisée si tu veux mais lumière.
    
    Nous nous mettons d’accord sur le niveau de lumière en posant les deux petites lampes de chevet au sol. Un long baiser puis elle retire son pantalon pendant que je retire le mien ainsi que ma chemise. Je bande déjà bien dans mon caleçon. J’espère qu’elle l’a vu avant que je m’agenouille pour lui retirer sa culotte. Pas très raffinée, la culotte. Probablement un manque de moyens. Cela me donne des idées pour y remédier.
    
    — Je n’avais pas prévu, je n’ai pas de préservatifs, lui dis-je.
    — Je ne suis pas séropo et je suis sûre que toi non plus.
    — C’est le mérite des vieux divorcés.
    
    La Signora Foscarini louant aussi ses chambres aux couples de touristes, les lits sont larges. J’entraîne Cécile vers le mien. Après un autre long baiser, au cours duquel je me fais la réflexion que je ne sens pas sa cicatrice, je descends le long ...
    ... de son corps vers son minou bien rasé. J’ai l’intention de lui montrer que j’aime vraiment ça et de lui donner du plaisir avec ma langue. Je me positionne entre ses jambes et j’embrasse son minou, de plus en plus bas vers les lèvres puis je sors ma langue et commence à lécher. Je crois qu’elle a rapidement compris mes intentions puisqu’elle écarte franchement les jambes et plante ses doigts dans mes cheveux.
    
    Elle me guide en variant ses grognements jusqu’à ce que j’aie parfaitement localisé son clitoris. À partir de ce moment, je m’applique à maximiser son plaisir. Son volume sonore s’amplifiant me réjouit mais me fait craindre de réveiller la Signora Foscarini. Je tends ma main vers sa bouche pour la faire taire, à contrecœur car les râles de plaisir d’une femme sont le plus beau son du monde. Elle a compris car elle ne s’exprime plus que par grognements jusqu’au moment où tout son corps se met à trembler et qu’elle ne peut retenir un bref cri aigu.
    
    J’arrête et remonte vers son visage. Elle me chuchote :
    
    — On ne m’a jamais aussi bien léchée. Tu es un as.
    — Il faut bien que l’expérience des vieux serve à quelque chose.
    — J’ai joui très fort. Je vais essayer de faire aussi bien.
    — Pas jusqu’au bout car je ne veux pas craquer trop vite.
    — Tu n’as pas intérêt à craquer avant que je ne t’y autorise.
    — Ce sera de ta faute, tellement tu es craquante.
    — Vieux flatteur.
    
    Elle me fait mettre à mon tour sur le dos et me retire mon caleçon. Sans savoir pourquoi, jeune, ...
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