Le commencement de la fin (ou le contraire)
Datte: 21/11/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
hagé,
fagée,
frousses,
inconnu,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
lunettes,
vacances,
plage,
campagne,
voyage,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
portrait,
Humour
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... secret à tous les deux.
Au pied de l’escalier qui menait aux chambres, Jocelyne enleva la veste de son tailleur pour la déposer soigneusement sur le dossier d’une chaise. Tant qu’à faire, je lui demandai d’enlever sa jupe afin de mater sa croupe hollywoodienne qui me précéderait dans l’escalier. Au bout de deux marches, j’arrêtai Jocelyne. Ses grosses cuisses, un peu molles, gainées de bas satinés ne gênaient pas du tout l’esthétique de la scène. Par contre, cette espèce de culotte-gaine en tissu élastique blanc gâchait tout. Alors j’ai tiré l’horrible slip vers le bas. Pour la première fois, Jocelyne me tutoya, soulevant une à une ses chevilles pour faciliter l’élimination de la lingerie.
— J’étais certaine qu’avec toi, il allait se passer des choses qui sortiraient de l’ordinaire.
Ses intuitions se confirmèrent car je soulevai sa cheville droite pour la monter d’une marche en lui demandant de bien écarter les cuisses pour une petite pause dans l’escalier, histoire de lui offrir une petite gâterie de bienvenue. Un parfum à base de jasmin titilla mes narines. Ses grosses fesses et sa foufoune dodue, dans son écrin velu qui émergeait d’entre ses cuisses, furent l’objet de toute mon attention. Dans la chambre d’amis, Jocelyne passa immédiatement à l’action : elle s’assit sur le fauteuil de la coiffeuse et m’invita à me placer en face d’elle, debout. Elle baissa en même temps le jean et le caleçon sur mes chevilles et se lança dans une fellation vigoureuse. Effet ...
... immédiat garanti. Nus tous les deux, debout, l’un à côté de l’autre, je lui léchais les tétons ; sa main droite avait emprisonné mon pénis et s’activait à conserver la raideur du membre. Mes grosses paluches poilues étaient également occupées : la gauche, par derrière, explorait les rondeurs de son arrière-train et la droite se baladait sur son petit ventre rond.
Jocelyne pensa qu’il y avait mieux à faire car sa main inoccupée se posa sur la mienne et la descendit de son ventre pour la guider plus bas, entre ses jambes. Sans la moindre honte, elle me saisit deux doigts et les enfonça dans sa fente. Le message ne pouvait être plus clair. Dès qu’elle sentit l’agitation des visiteurs, elle synchronisa ses hanches dans un subtil mouvement accompagnateur. En fait, c’est elle qui commandait le rythme de la manœuvre. Au plus fort de l’action, je lui enfilai, bien profond, l’index de la main gauche dans le trou du cul. Une grande partie de « ça va-ça vient » s’engagea côté pile et côté face.
Elle s’assit alors brusquement sur le bord du lit, appuyée sur les coudes. Les jambes béantes, elle m’invita à conclure. Je lui saisis les chevilles pour les soulever en les écartant. Je ne pouvais pas manquer ma cible. Je l’ai pénétrée lentement puis, en plaçant mes bras sous les articulations de ses genoux, j’ai repoussé ses jambes sur son ventre. Jocelyne étant maintenant dans la position du poulet à la broche, je l’ai besognée énergiquement. Au plus fort de l’action, elle laissa échapper un ...