Le commencement de la fin (ou le contraire)
Datte: 21/11/2018,
Catégories:
fh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
portrait,
Humour
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... râle qui monta en crescendo avant que je me libère d’un flot abondant de quelques millions de spermatozoïdes.
Je n’avais aucune honte de ce qui venait de se passer, Jocelyne non plus. Dans la foulée, elle repartit avec un lot de chemisettes et de tee-shirts fraîchement lavés pour les repasser.
Avant de nous séparer, on évoqua quand même nos relations non protégées, mais il n’y avait pas de problème, ni de son côté, ni du mien ; on était entre gens de bonne compagnie, ou presque : un billet de 50 euros que j’étais certain d’avoir glissé sous le téléphone s’était volatilisé après le passage de madame Laforge…
Finalement, en me cantonnant aux mamies qui désiraient s’encanailler, j’avais des chances, même avec mes poches sous les yeux.
Ma repasseuse me prévint quelques jours après que je pouvais venir rechercher mes chemisettes en rentrant du travail. Le billet de 50 euros me restait quand même en travers de la gorge et je lui en fis la remarque.
— J’en avais besoin, désolée : il y avait une cagnotte à l’Euromillion, et je ne suis pas en mesure de vous rembourser. Je ne veux pas passer pour une voleuse ; donc, en contrepartie, je peux vous accorder une faveur exceptionnelle…
Comme j’étais complètement ignorant de cette pratique, par curiosité j’ai accepté la transaction. On ne peut pas dire que l’on gardera, tous les deux, un grand souvenir de cette première, pour elle comme pour moi ; mais bon ! Ce qui était étrange, c’est que Jocelyne avait un cul énorme ...
... mais un orifice anal étroit, qui se dilata très peu malgré une lubrification préalable à l’huile d’olive vierge.
Assez parlé d’Amour !
Je commençai à consulter le Net pour me trouver un voyage à prix cassé pour ma semaine de vacances ; seul impératif : le soleil, et une mer à 25 degrés minimum pour récupérer d’une année sous pression. Je n’avais aucune illusion sur mes chances de séduction et je ne fus pas déçu ; les quelques dames seules repérées dans l’hôtel préféraient faire les yeux doux aux jeunes serveurs albanais du restaurant ou se faire draguer par des gigolos bronzés dans les discothèques.
Depuis deux jours, dans un hôtel de Paros, je rechargeais mes batteries. Dans l’immense piscine, les coudes appuyés sur le bord du bassin, je reprenais mon souffle après mes longueurs en brasse coulée. Une dame bronzée, en maillot rouge, m’adressa la parole, debout au bord de la piscine. Je n’entendais rien avec la musique du cours de salsa d’à côté. Elle était toute menue, et Dame Nature lui avait attribué un appendice nasal hors du commun. La pauvre avait un nez long, trop long, mis encore plus en évidence par le fait que ses cheveux avaient disparu sous un bonnet de bain.
La dame s’accroupit pour se faire comprendre, et elle m’expliqua que la fermeture de son bracelet en or s’était ouverte et que le bijou gisait au fond de la piscine, près d’une l’échelle de remontée. Le tissu rouge de son maillot de bain humide moulait parfaitement le minou de la dame qui, accroupie, ...