1. Le commencement de la fin (ou le contraire)


    Datte: 21/11/2018, Catégories: fh, fplusag, hagé, fagée, frousses, inconnu, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, plage, campagne, voyage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, portrait, Humour Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... Rentré chez moi, je visitai tous les sites Internet des cliniques qui proposaient de la chirurgie plastique appropriée. Pas dans mes moyens !
    
    Certes, j’étais divorcé depuis trois ans, je n’avais pas de nouvelle copine (et je m’en trouvais très bien ainsi), mais ce n’était pas une raison suffisante pour étaler au grand jour mes signes extérieurs de décrépitude annoncée ! Dans l’immédiat, le port de mes lunettes de soleil à grands verres m’apparut comme indispensable. Il fallait quand même me faire une raison et réviser mes ambitions à la baisse au cas où ma libido se rappellerait à mon bon souvenir. Cela faisait quand même un bout de temps que je n’avais pas eu de relations sexuelles.
    
    Je rentrai du boulot en milieu d’après-midi pour préparer ma valise car je partais quelques jours, en déplacement professionnel, en Alsace. J’attendis, à côté de ma voiture, que Brigitte que j’avais aperçue promener son caniche, soit à ma hauteur pour la saluer. Brigitte avait dix ans de moins que moi mais elle s’habillait et se coiffait comme une mémé. Je qualifierais sa coiffure de « tête de chrysanthème » à cause des nombreuses mèches de cheveux amoncelées sur son crâne, avec des variantes dans la coloration qui passaient du châtain au roux. Une large ceinture en plastique rouge pompier séparait son chemisier blanc de sa jupe plissée. Cerise sur le gâteau, elle s’était chaussée d’horribles ballerines rouges. Mais bon, c’était une dame charmante et l’épouse d’un copain avec qui j’allais ...
    ... régulièrement taquiner le goujon.
    
    Pendant que Brigitte m’informait des derniers potins du village et malgré mes lunettes de soleil, je pouvais distinguer l’armature renforcé du soutien-gorge qui tendait le chemisier légèrement translucide. C’était pour moi le seul atout de cette dame, ni grande ni petite, au visage tout à fait ordinaire par ailleurs. Sa poitrine était vraiment somptueuse : des seins énormes, comme une anomalie de la nature égayant son physique banal. On en arriva à parler de nos boulots respectifs et de leurs contraintes. Je lui parlai de mes déplacements professionnels aux quatre coins de l’hexagone : je venais de passer quatre jours en Normandie et je repartais vers Mulhouse. Galère, fatigue, stress…
    
    — Mais, Pierre, tu ne te trompes pas de semaine ? Tu n’as pas fait une partie de pêche avec mon mari, toute la journée, mardi dernier ?
    — Impossible, Brigitte : mardi dernier, je dînais à Honfleur, sur le port.
    — L’ignoble salopard… il a revu cette blondasse ! Il m’avait pourtant juré que cela ne se reproduirait plus jamais. Je ne peux pas supporter la trahison et qu’on me prenne pour une conne, qui plus est ! Je vais lui rendre la monnaie de sa pièce, au centuple, à ce guignol : comme tu vis en célibataire maintenant, tu es désigné volontaire pour je cocufie mon mari ; je ne suis pas une fanatique des parties de jambes en l’air, mais je ferai mon possible pour que tu en aies pour ton argent !
    
    C’était le premier test grandeur nature ; j’ai osé enlever ...
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