Bazouk
Datte: 18/11/2018,
Catégories:
ffh,
inconnu,
grosseins,
fsoumise,
Oral
pénétratio,
Humour
fantastiq,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... désespérément de réfléchir à un truc à lui dire pour qu’il accepte de faire ce que je lui demandais. Le cas des deux nanas, aussi bonnes soient-elles, me posait un problème moral. Je ne voulais pas d’esclaves, mais de ce que semblait dire Bazouk, ces deux filles n’existaient pas et avaient été créées pour l’occasion. Ça dépassait presque mon entendement.
En sortant, je retournai me foutre au pieu, fermement décidé à tirer le meilleur de mon génie. Je n’avais strictement aucune envie de dormir et je m’emparai d’un bloc-notes et d’un stylo pour noter tout ce qui me passait par la tête. En arrivant dans la chambre, je marquai un temps d’arrêt en apercevant les deux merveilleuses jeunes femmes, toujours nues, endormies quasi enlacées, à peine recouvertes d’un petit bout de la couette. Je montai dans le lit et m’installai juste entre elles deux, les séparant pour me faire une petite place entre leurs deux corps hallucinants. Je les gratifiai au passage de quelques baisers qui ne leur firent pas le moindre effet. Je m’assis dans le lit, remontant les oreillers ; elles s’étirèrent vaguement plus ou moins, puis se repositionnèrent contre moi, leur tête appuyée sur mes cuisses. Bazouk se tenait debout dans l’encadrement de la porte, me surveillant de son perpétuel air satisfait. Je me préparai à écrire sur le bloc-notes.
Alors… D’abord, du fric… J’écrivis sur un feuillet : argent. Ensuite… une bagnole, une bien mieux que celle que j’avais là… Et puis, tant qu’à faire, il ...
... faudrait finir d’aménager le grenier du deuxième étage. Et pourquoi pas construire un garage attenant à la grange ? Je marquai tout cela au fur et à mesure que ça me venait.
— Tu ne dors pas ? me demanda finalement Bazouk, très observateur.
— Voilà qui est finement analysé…
— … ?
— Non, je ne dors pas. Je te prépare un peu de boulot… Je te marque sur un petit bout de papier tout ce que tu auras à faire demain matin.
— Inutile, je ne sais pas lire.
Je le regardai avec stupéfaction.
— Tu maîtrises la magie et tu ne sais pas lire ?
— En effet.
De toute façon, je m’en foutais. Et même, ça m’arrangeait bien. Ça ferait au moins un truc où il me ferait pas chier.
— Bon, n’importe. Et puis, vu le temps que t’as mis à me faire une gonzesse, autant que je te dise tout de suite ce que j’attends de toi.
— Soit.
— Alors, d’abord, je veux de l’argent. Beaucoup d’argent. Des billets de cent euros, c’est pas la peine de faire plus. Mais tu m’en fais plein. Tu vois à quoi ça ressemble ?
Il me refit le coup de devenir vaguement transparent, excepté que cette fois-ci, il me parut même clignoter. Je m’attendais à ce qu’il me fasse un premier essai foireux, je me préparais au grand éclair blanc. Mais ce fut autre chose qui vint :
— Non.
Il avait cessé de clignoter et m’avait froidement répondu non.
— Comment, non ?
— Non.
— Tu vas arrêter de dire non chaque fois que je te demande un truc ! Je veux du fric, tu me fais du fric ! Tu es mon djinn, tu m’obéis, on est bien ...