1. Bazouk


    Datte: 18/11/2018, Catégories: ffh, inconnu, grosseins, fsoumise, Oral pénétratio, Humour fantastiq, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... passionnément. Je refermai mes mains sur ses fesses et accentuai encore le mouvement de va-et-vient de son bassin. Elle se redressa et, se retenant d’une main, pressa de l’autre ma tête contre sa poitrine, lourde et chaude. Je refermai mes mains sur ses seins et léchai et suçotai avidement ses tétons tendus, tout en accompagnant de mon bassin les à-coups du sien, lui arrachant non plus gémissements mais rapides cris saccadés qui venaient se mêler à mes souffles rauques et plaintifs.
    
    Elle se redressa soudain et se tint assise sur ses chevilles, ses cuisses de part et d’autre de mon bassin, mon sexe tout au fond de son corps. Et je compris que c’était pour faire de la place. J’aperçus Azura enjamber ma tête et s’asseoir doucement sur mon visage dans la même position que l’autre jeune femme, cherchant lentement la meilleure place, frottant un instant sa raie contre mon nez avant que ma langue tendue ne vienne enfin lécher ses lèvres et se repaître de son excitation.
    
    J’étais ailleurs ; je n’étais plus que désir et plaisir à l’état pur. Mes deux partenaires se balançaient plus ou moins en cadence sur mon corps, en geignant de délectation. Les doigts d’Azura venaient parfois toucher ma langue ou pénétrer mes lèvres, ou les siennes. Son plaisir coulait dans ma bouche. Sur mon sexe, les va-et-vient se faisaient de plus en plus rapides. Je devinais que la jeune femme se caressait aussi le clitoris. Et je les imaginais toutes les deux s’embrasser, masser doucement leurs ...
    ... seins.
    
    Les mouvements sur mon bassin devinrent soudain ultra violents, amples à-coups brutaux accompagnés des hurlements spasmodiques de la jeune femme. Je sentis sa jouissance se répandre en une vague de plaisir, un flot qui inonda son sexe et coula le long du mien jusqu’à tremper mon bas-ventre et mes testicules.
    
    Ce fut la goutte qui fit déborder le vase de mon excitation ; je rejoignis la merveilleuse inconnue dans sa jouissance et éjaculai en grommelant au fond de son ventre en essayant au mieux de ne pas abandonner Azura que je léchais toujours désespérément. Les doigts de celle-ci s’activaient à toute allure sur son clitoris et dans sa fente, touchant à chaque instant ma langue et mes lèvres. À son tour, elle se mit à crier en se trémoussant par spasmes au-dessus de mon visage, et elle jouit en hurlant au moment où j’achevais dans un dernier soubresaut de me décharger dans le corps de sa compagne.
    
    On s’affala tous les trois sur le lit, épuisés. Je caressai doucement les corps somptueux de mes deux nymphes. Azura ne bougeait presque plus, se contentant de respirer profondément. L’autre me souriait en s’effleurant les seins du bout des doigts.
    
    — Merci, lui dis-je sobrement.
    — Satisfaire tes désirs donne un sens à mon existence, me répondit-elle avec affectation.
    
    Je soupirai en regardant Bazouk, qui arborait toujours son air débonnaire et comblé.
    
    — C’est gentil, ma puce, mais ton propre plaisir et tes propres désirs comptent aussi. Comment t’appelles-tu ?
    — ...
«12...8910...»