Bazouk
Datte: 18/11/2018,
Catégories:
ffh,
inconnu,
grosseins,
fsoumise,
Oral
pénétratio,
Humour
fantastiq,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... Pandore.
— Pandore ? Eh ben…
— Mais si tu me le demandes, je changerai mon nom.
— Non, non, c’est formidable, mais… euh… écoute… tu devrais peut-être…
J’hésitai. Mais la voix chantante d’Azura s’éleva soudain :
— Mon Gufti adoré, que puis-je faire d’autre pour t’être agréable ?
Je soupirai longuement de nouveau.
— Rien ! Dormez, je vous appellerai si j’ai besoin de vous.
Je renfilai mon caleçon en regardant Bazouk d’un œil sombre. Les deux bombes se repositionnèrent sur le lit, réajustèrent l’oreiller. Je les recouvris doucement de la couette puis leur déposai à chacune un baiser. Je m’avançai ensuite vers Bazouk et fis mine de l’attraper pour l’emmener après moi vers le salon. Mais mon bras passa tout naturellement à travers la forme évanescente de son corps. Je ronchonnai, puis sortis en l’appelant. Il ne tarda pas à me rejoindre à l’autre bout de la maison.
— Bazouk ! Qu’est-ce que c’est que ces deux nanas-là ?
— Elles ne te plaisent pas, ô mon maître ?
— Oh tu vas pas t’y mettre à ton tour, hein ! Appelle-moi Gufti, ça suffira.
— Bien. Ces deux femmes ne te conviennent-elles pas, Gufti ?
— Mais si ! Bien sûr qu’elles me plaisent ! J’ai jamais vu des nanas aussi belles ! Mais c’est pas des esclaves que je voulais…
— Ah non ?
— Non ! Allez, fais-les disparaître ; rends-leur la liberté.
— La notion de liberté n’a pas de sens pour elles, ni pour moi. Leur existence, comme la mienne au demeurant, n’a d’autre sens que celui de te satisfaire.
— Hein ...
... ? Mais d’abord d’où elles sortent ? Tu les as fait sortir d’où ?
— Elles ne sortent de nulle part ; elles ont été créées pour la circonstance ; tu devrais les garder à ton service, je ne pense pas que tu auras à le regretter.
Je soupirai une fois de plus en serrant les poings.
— Non ! Allez, fais-les disparaître.
Il parut hésiter ; sembla même pâlir et « transparenter » davantage. J’attendis un court instant.
— Ça y est ?
— Non.
Il reprit toute sa texture et son teint habituels.
— Comment, non ?
— Non. Je ne les ferai pas disparaître.
— C’est un ordre, Bazouk ! Fais-les disparaître.
Il leva doctement la main et prophétisa une fois encore son charabia que j’avais déjà entendu, et devant mes gestes rageurs, il ajouta :
— Ce n’est ni dans ton intérêt, ni dans le mien.
— Grrrr !
— Elles te serviront parfaitement, et je ne veux pas à avoir à en recréer.
— Tu te fous de moi !
— Non, écoute-moi, aie confiance.
— C’est ça…
Tu parles d’un génie obéissant… Quand c’était pour foutre le bronx, ça allait, mais quand il s’agissait de réparer ou de nettoyer…
— Bon, je vais prendre une douche, tu viens encore me surveiller ?
— Oui, je te suis.
— Je plaisantais, Bazouk…
— N’importe. Ta sécurité est une de mes priorités.
— Bah oui, des fois que je me fasse agresser dans la douche à cinq plombes du mat…
Je l’ignorai et allai me laver. Il me suivit, mais je fis tout comme s’il n’était pas là. Il commençait néanmoins à me saouler, le djinn. J’essayai ...